La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1180)
Datte: 15/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... en premier. Tous étaient au courant au Château du comportement de cette jeune fille prénommée Anne. Et également du temps où elle ne devait pas sortir du Château, afin de rattraper son retard dans ses études. Il prit sa voix la plus grave, la plus sèche :
- Eh bien Anne ! Que fais-tu ici ? N’es-tu pas censée être dans ta chambre en train de travailler tes leçons ?
- Vous n’êtes pas ma mère, cela ne Vous regarde pas, Monsieur !
Son ton était dédaigneux, elle prenait de haut les deux nobles, qui se regardèrent en souriant. Charles passa derrière elle, d’un mouvement très vif, lui sait les poignets d’une seule main et de l’autre appuya sur ses épaules pour la faire mettre à genoux. Anne eut l’air surprise, presque effrayée, mais par fierté, elle ne voulut pas montrer sa peur et elle releva la tête bien haute regardant Louis d’un air de défi.
- Eh bien que pensez-vous faire de moi maintenant ? Ne croyez pas que vous puissiez utiliser la force sur moi. Toute employée qu’elle est, ma mère ne manquerait pas d’en référer à votre cher père !
- Tu es sortie sans que personne ne te voit. Nous pourrions te séquestrer, personne ne saurait jamais ce que tu es devenue ! D’ailleurs, c’est une idée, ça ! Charles, relève là, tu sais où nous l’emmenons ?
Sur un signe de tête, le plus jeune des frères releva la jeune femme, après lui avoir enlevé ses chaussures et ses bas. Anne se plaignait de la dureté des pierres, assurait que cela ne se passerait pas ainsi, mais avançait ...
... tout de même, les mains toujours tenues d’une poigne ferme dans son dos. Ils arrivèrent à une petite hutte de bucheron abandonnée, que les deux frères utilisaient régulièrement. Quand ils furent rentrés et que la porte fut refermée, elle fut relâchée. Pendant un instant, personne ne parla, jusqu’à ce qu’un des deux frères lancent un :
- Déshabille-toi !
Anne était joueuse et il faut bien le reconnaitre, n’avait pas froid aux yeux avec les garçons du village (ce que savaient très bien les deux frères). Sur le moment, elle voulut refuser et essayer de sortir, plus par jeu ou défi que par crainte, mais elle se dit qu’une partie de jambes en l’air à trois dans la nature ne pouvait pas faire de mal. Elle avait confiance en ses charmes, et pensait pouvoir mener à la baguette les deux hommes. Alors elle se dénuda, tortillant des fesses pour les aguicher en bonne salope qu’elle était en réalité. A un moment où elle leur tourna le dos, Louis se saisit d’une branche de noisetier qui était prête à servir, et lui donna un coup cinglant sur les fesses. Anne se retourna en criant, les yeux grands ouverts.
- Bien, maintenant, c’est simple ! Soit tu te soumets à nous, tu nous obéis, bref tu te donnes volontairement à nous ! Soit nous t’enfermons ici, pour un temps indéfini, en espérant que nous ne t’oublions pas plusieurs semaines. Personne ne passe dans les parages, tu pourrais crier autant que tu le voudrais, personne, en dehors de nous deux, ne pourrait venir te libérer… Nous te ...