1. Le tout pre mier jour


    Datte: 03/10/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... butor daigna à peine se tourner et me serrer la main. J'eus assez de peine pour m’immiscer dans la conversation. Enfin je parvins à convaincre cet imbécile que c'est moi qui en le couple portait le pantalon et avec qui il fallait discuter. Il esquissa enfin un sourire. Ce genre d'abruti n'aime rien tant qu'on leur résiste. Il méprise à bon droit les faibles et les minables. Nous avions sur ce sujet de quoi nous entendre. Je lui dis qu'outre les arrhes nous lui ferions deux chèques dont l'un pouvait être touché maintenant.
    
    D'un ton abrupt je lui signifiais qu'à présent j'allais me doucher et venir le voir peu après avec les chèques en question. Il se retira avec force courbettes obséquieuses. Je n'en vis pas moins son regard libidineux sur mes jambes. Ce butor était un porc. Ce genre de considération loin de me rebutait me rassurait au contraire. J’avais le mode d'emploi de pareils imbéciles. Je n'en morigénais pas moins mon mari. Il avait l'art de tout faire foirer. Comme pour le punir, je l’abjurais avant une douche de s'enquérir de notre auto et de dispenser à celle-ci les premiers soins.
    
    La douche froide me retapa. Je grillais lentement et avec saveur une cigarette. De la fenêtre je pouvais voir en contre-bas le parking où s'affairait mon pauvre bonhomme. J'avais été dur avec lui. Je me promettais cette nuit de me faire pardonner. J’avais envie de toute façon d'une bonne queue te de me donner. Par jeu je tins à me parfumer et me maquiller avant d’aller visiter ...
    ... l'autre sagouin. Dans le même ordre d'idée je m'affublais d'une mini-jupe de cuir et d'escarpins sonores. La garce en avait pris toute possession de moi. De la coursive je fis un signe à mon gars lui adressant un baiser.
    
    Au bout de vingt mètres on voyait signaler le nom de l'imbécile sur une porte. Je frappais. J'entendis sa voix désagréable de l'autre côté. Il sursauta non pas qu'il avait oublié ma venue mais il ne m'avait pas prévu assortie de la sorte. Ne lui laissant point de répit et avant même qu'on m 'en invitât, j'étais déjà assise cuisses croisées et l'escarpin se balançant déjà au bout du pied. De même avec irrévérence avais-je déjà allumé ma cigarette le toisant bien du regard. Je jetais avec mépris sur son bureau mes deux chèques. Il crut devoir se confondre encore en excuses.
    
    Cette canaille partit sur une théorie qu'aujourd'hui on ne pouvait guère faire confiance à personne. Qu'il avait du assumer nombre de chèques en bois... Etc. Sur ce point je tins à lui préciser que je pouvais substituer à mes chèques des paiements par carte bleue. Il m'assura qu'il me faisait confiance. Son ton décidément était radouci. Il me proposa de boire à la santé de notre venue. Il pointa les bouteilles d'un petit bar en son dos. Je pris un Martini avec des glaçons. Je n'avais cure qu'il dévorât impunément du regard mes cuisses. Il me signifiait par là son intérêt pour la chose.
    
    Je pris cette occasion pour lui parler des prestations auxquelles on avait droit. Il invoqua alors l'ami ...
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