Ma compagne flashe sur mon ami d’enfance
Datte: 14/03/2018,
Catégories:
Première fois
BDSM / Fétichisme
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... fléchir son bassin vers ce pal de chair. En dessous, Francis capture une fesse pour la soutenir et mieux diriger la petite cible vers le bon endroit. De son autre main, il maintient sa verge bien droite.
De côté, je tiens les deux mains de ma compagne, pour la rassurer.
Peu après, le gland luisant épouse l’arrondi de la petite cuvette de ma compagne qui est un peu inquiète. Quand il juge que c’est OK, Francis relâche un peu la pression sur la fesse. Un bref instant suspendu, puis le haut de la verge disparaît sans trop d’effort dans le rectum. Vanessa écarquille les yeux, sa bouche dessinant un « O » muet, mais elle ne tente pas de s’échapper, me regardant dans les yeux :
— Tu veux vraiment que je me fasse enculer par ton copain ?
— Tu as déjà été assez loin avec lui…
— Oui, c’est vrai, mais mon cul, c’est plus intime… je pensais ne le réserver qu’à toi…
— Merci, mon amour. La seule chose que je veux que tu me réserves vraiment, ce sont tes sentiments… Moi, je veux que tu puisses au moins connaître la jouissance d’être désirée et prise par nous deux !
Elle se contente de sourire, puis, lentement, elle se laisse coulisser le long de cette colonne lubrifiée qui s’enfonce résolument en elle.
— Ouf ! C’est quand même un beau morceau ! Et en plus, je t’aurais par-devant !
— Ainsi, tu seras totalement prise… doublement possédée…
Coquine, elle plisse délicatement des yeux :
— Ah oui ? Tu oublies qu’il restera une place dans ma bouche…
— Merci ...
... de me signaler cet oubli, mon amour…
Je me penche sur elle tandis qu’elle s’empale petit à petit sur une autre bite que la mienne. Je capture son menton entre mon pouce et mon index :
— Je veux que tu jouisses, peu importe la bouche, peu importe la langue, peu importe le doigt, peu importe la queue ! Je veux que tu sois un petit a****l d’amour qui vibre sous son plaisir !
— Hmm, c’est bien dit, mon chéri…
Puis, lascive, elle ajoute d’une petite voix :
— Puisque tu le veux, ça me va…
Elle ferme les yeux comme pour mieux apprécier toute cette longueur qui s’enfouit en elle. Puis quelques instants plus tard, la bite de Francis est totalement enfouie. Elle soupire :
— Oh putain ! Que je me sens remplie !
Je me positionne entre ses jambes, pour venir combler son entrée principale. Toujours empalée, elle écarte les cuisses pour me faciliter la tâche. Peu après, j’ai l’immense plaisir d’être complètement en elle, mon visage à deux doigts du sien. J’adore être dans sa grotte humide et chaude. Il est curieux de sentir en même temps une autre verge contre la sienne, séparée par une mince cloison. Je lui demande :
— Ça va ?
— Oui, ça peut aller… ce… c’est étrange d’avoir deux queues… je me sens envahie, et en même temps, je suis terriblement excitée !
— Et ça ne fait que commencer…
Nous commençons à la pistonner lentement, doucement. Elle gémit subtilement. Nous accélérons un peu plus, nos pieux coulissant en elle, de façon alternée, parfaitement ...