1. Flavien, mon amour de toujours et pour toujours


    Datte: 02/10/2019, Catégories: hh, jeunes, copains, jalousie, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral hdanus, hsodo, init, coupfoudr, Auteur: Bellamya, Source: Revebebe

    ... précipiter vers l’entrée. Il est sur le point de partir. Je ne peux pas le laisser partir ! Je fonce directement vers lui, et arrive au moment où il est sur le point d’ouvrir la porte pour quitter les lieux. Je me mets devant lui, complètement en état second. Je dois l’empêcher de s’en aller. Je lui dis alors :
    
    — Ne pars pas, s’il te plaît.
    
    Flavien me regarde, le visage effaré. Il a peur, il a honte. Je m’approche de lui.
    
    — Ne pars pas, je t’en prie.
    
    Il est grand, bien que faisant un peu moins que ma taille. Subitement, je passe ma main derrière sa nuque.
    
    — N’aie pas peur, il n’y a pas de raison d’avoir peur, que je lui fais comprendre.
    
    Il est pétrifié sur place, attend ma réaction. Nos corps sont de plus en plus proches l’un de l’autre. Mon visage n’est plus qu’à quelques centimètres du sien. Nos yeux ne se quittent plus. Les siens sont brûlants de désir. Il ne peut plus me le cacher, quant à moi je n’ai plus à le lui dissimuler. Nous sommes maintenant raides d’excitation et de terreur. J’arrive au moment décisif. Je regarde sa bouche magnifique à en mourir. Je lui dis doucement :
    
    — Tu es beau, Flavien.
    
    Mes lèvres viennent se poser délicatement sur les siennes. Le premier baiser, ça y est ! Est-ce aussi le dernier ? Je retire ma bouche après avoir goûté à la sienne avec tendresse. À moi de voir comment il va réagir. Ma main lâche sa nuque. Flavien prend mon visage de ses mains et écrase ses lèvres contre les miennes, avec fougue. C’est inouï, c’est ...
    ... sensationnel. Le baiser qu’il m’offre est d’une puissance dévastatrice.
    
    Nous nous agrippons l’un à l’autre et nous nous embrassons à pleines lèvres, totalement décomplexés et libérés de l’oppression qui nous étranglait auparavant. Nos mains se baladent le long de nos dos, nos bouches s’ouvrent, nos langues frétillantes sortent pour se mêler en un ballet vertigineux. Je suis tout raide. Pris d’un désir ravageur, je le colle contre le mur pour lui baiser la gueule de plus belle. Mon sexe se colle au sien. Il est lui aussi, dur comme le bois. Au travers des tissus, ils prennent connaissance l’un de l’autre. Nos baisers répétés se poursuivent pendant de longues minutes.
    
    Je décide de prendre l’initiative de le guider vers le salon. Je l’emmène vers le canapé, tandis que nos bouches restent soudées. Nous nous allongeons, moi sur lui, et continuons à faire jouer nos langues incontrôlables. Je veux aller plus loin, je veux tout connaître avec lui. J’ai un boulevard face à moi, pas question de ne pas m’y lancer. Je soulève d’une main son tee-shirt et palpe ses tétons avec l’autre. Lui-même glisse une main dans mon dos. Nous nous caressons tendrement tout en continuant à nous emballer avec fureur. Je quitte sa bouche, embrasse son grain de beauté au-dessus de la lèvre, le titille, le mordille. Surpris, il se laisse faire. Je lui demande :
    
    — Ta copine t’a jamais dit que t’avais un magnifique grain de beauté ?
    — Non, me répond-il.
    — La chienne alors ! Elle ne sait pas ce qu’elle ...
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