1. L'invitation


    Datte: 14/03/2018, Catégories: fff, hotel, caférestau, toilettes, fdomine, noculotte, Masturbation intermast, Oral jeu, init, Lesbienne Auteur: InisCognomenn, Source: Revebebe

    ... aurait tant voulu être caressée, se sentir partir et jouir mais, au lieu de cela, faisant fi de ce désir, l’audacieuse Estelle l’a négligée, préférant enfiler son jeans sans même la regarder. Jeanne reste prostrée, frustrée et blessée par ce geste pervers.
    
    — Allez… Dépêche-toi ! sermonne Estelle. Elles vont se demander ce que l’on fait… Ou, plutôt, elles vont s’imaginer des choses…
    
    Obéissante, Jeanne remonte sa robe quand l’autre ajuste son tee-shirt et, deux minutes plus tard, elles ressortent des toilettes. Sur le court chemin qui mène à la table, Estelle lui glisse dans le creux de l’oreille.
    
    — J’ai adoré ! Tu ne perds rien pour attendre !
    
    Jeanne n’a pas le temps de répliquer, elles sont déjà arrivées.
    
    — Eh bien ! Vous en avez mis du temps ! plaisante Carole, un sourire aux lèvres plein de sous-entendus.
    — La fermeture de mon jeans était coincée… Heureusement, Jeanne m’a aidé, ment Estelle,
    — On ne vous demande pas de nous raconter les détails ! Alors, ça y est, vous avez rempli votre part du contrat ?
    — Oui, répondent Estelle et Jeanne.
    
    Puis, plus solennellement, Carole leur explique :
    
    — Le maître d’hôtel est venu nous informer de la fermeture du restaurant. Donc, avec Hélène, nous avons projeté d’aller boire le champagne dans ma chambre. Il doit même être déjà arrivé ! On y va ?
    — Quand tu veux ! répond Estelle. Nous vous suivons ! dit-elle en se levant.
    
    À nouveau, Estelle a pris la décision et Jeanne est mise devant le fait accompli. Cela ...
    ... l’agace mais, une fois de plus, elle se contente de suivre. Elle ne se reconnaît plus. Elle, si déterminée, réputée pour être autoritaire et rigoureuse dans son travail, se tait, se laissant mener par le bout du nez. Ce changement la stupéfait. Elle, qui n’a jamais trompé son mari, est en train de plonger dans une aventure au parfum lesbien. Et plus la soirée avance, plus elle se soumet volontiers.
    
    Après quelques minutes dans l’ascenseur, ponctué de rires bruyants, elles arrivent à la chambre de Carole. Et, comme elle l’avait dit, un plateau avec deux bouteilles de champagne et quatre flûtes les attend, posé sur le sol, devant la porte.
    
    — Voilà de quoi finir la soirée en beauté, déclare Carole.
    — Hum… Ça promet ! ajoute Estelle.
    — J’en suis sûre, nous allons passer un très bon moment, renchérit Hélène.
    
    Leurs propos raisonnent dans la tête déjà bien embrouillée de Jeanne comme autant d’allusions à un jeu pervers dont les parties vont désormais se dérouler dans un espace privé. Elle a conscience d’être au point de non-retour mais, au lieu de se sauver et de se réfugier dans sa chambre, comme elle l’aurait fait la veille, elle conclut en disant :
    
    — Je suis de votre avis. Ce sera inoubliable !
    
    Et elles pénètrent dans une pièce mesurant 15 m² dont la moitié est occupée par un grand lit couvert d’une parure turquoise et oranger. Première entrée, Estelle s’assoit sur l’unique chaise de la pièce, accolée à une sorte de bureau et Carole, Hélène et Jeanne s’affalent sur ...
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