Myriam, source de plaisir (1)
Datte: 02/10/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: King Papa, Source: Xstory
... bâtiment et... J’ai l’impression... Mais oui, je suis pratiquement certain qu’elle a... retiré son soutien-gorge ! Alors là, je suis bluffé, je crois que je bande instantanément, non seulement je me doute qu’elle a retiré sa culotte, mais en plus elle a libéré sa poitrine sous son pull. La salope...
On monte dans la voiture, elle n’a pas remarqué la serviette de bain apparemment, on s’installe, je lance le moteur. Avant de partir, je me tourne largement vers elle :
— Ouh, mais dis donc, tu as l’air d’être un peu stressée, Myriam. Allez, tu te détends, tu fermes les yeux, tu prends une grande inspiration... voilà, comme ça, tu souffles par la bouche... Voilà, tu vois, ça fait du bien, hein ?
Je profite donc qu’elle a fermé les yeux et s’est un peu relâchée, j’avance ma main droite et je la pose sur sa cuisse.
Surprise, elle pousse un petit cri, ouvre les yeux, met ses deux mains sur mon bras et resserre brutalement les cuisses. Elle ne dit rien, me regarde toujours avec ses grands yeux surpris. Elle essaye de retirer mon bras, mais je suis quand même assez fort pour qu’il ne bouge pas.
— Hum, Myriam, si tu veux que je retire ma main... Il faudrait que tu desserres les cuisses, tu vois.
Du coup, elle ouvre les cuisses, mais j’en profite immédiatement pour remonter un peu ma main, jusqu’au "gras de la cuisse", elle pousse à nouveau un petit cri qui ressemble quand même bien à un début de gémissement. Ses mains sont moins fermes sur mon bras, je redescends ma ...
... main en caressant doucement l’intérieur de sa cuisse.
— Tu as une peau très douce, Myriam.
Je retire ma main, j’en ai besoin pour conduire, même si l’avantage de la boîte automatique est qu’on n’en a pas trop besoin une fois qu’on a démarré. Je remets donc tout de suite ma main sur son genou en le caressant doucement, elle ne crie plus, reste passive, sa respiration s’accélère, et elle commence à gémir un peu, la tête en arrière. Je me suis engagé sur l’autoroute, je garde un maximum d’attention à la route, et ma main commence à caresser toute sa cuisse, elle serre compulsivement les jambes, mais le chemin reste ouvert. Après quelques minutes, elle me demande :
— Mais qu’est-ce que je suis censée faire moi, maintenant ?
— Ah, eh bien, tu peux me demander d’arrêter... Ou baisser le dossier pour être plus à l’aise.
Elle hésite un peu, puis sa main droite part en exploration, trouve la molette et elle baisse le dossier, ce qui dégage largement son ventre et ses jambes. Je suis donc invité à continuer. Ma main va plus haut, j’arrive jusqu’à son entrejambe. Évidemment plus de culotte, lorsque je frôle ses lèvres, elle commence à vraiment gémir de plaisir, je lui dis quelques mots doux, que c’est bien, qu’elle est douce, je l’encourage. Je sens qu’elle n’est pas épilée, mais je perçois qu’elle est très excitée et qu’elle mouille déjà beaucoup. Mais sa jupe un peu raide me gêne encore pour aller bien plus profondément.
— Myriam, tu es une petite cochonne, tu n’as pas ...