Les trois soeurs - Histoires de Sexe

Les trois soeurs

... fait jouir à répétition. Il a joui dans ma bouche, giclé dans mon con et a encore réussi à se vider une dernière fois entre mes fesses. Ce que je ne savais pas, c’est que son secrétaire assistait à nos ébats et qu’il allait prendre le relais. Il était tout aussi bien équipé que son patron. Sans m’en demander vraiment l’autorisation, il a recommencé à me baiser et à me sodomiser, je n’avais jamais joui autant de fois à la suite, c’était tellement bon que je crois que c’est moi qui en redemandais ! Mais maintenant, je veux aussi le plaisir de posséder deux hommes en même temps !

À ce moment, elle m’attire de manière à gober mon sexe. Si elle ne peut rien dire, ses couinements et ses mouvements sur le phallus de Georges ne peuvent que confirmer le plaisir qu’elle prend.

Abandonnant brusquement la succion de ses lèvres sur ma bite, elle me dit :

— Viens, François, je vous veux tous les deux. Encule-moi !

Prudemment, je prépare son œillet par l’introduction de mes doigts préalablement humidifiés du jus qui s’écoule de son vagin entre les couilles de mon ami.

Quand je sens que ses muscles se détendent, je présente mon gland et doucement l’introduis. Je sens la verge de mon ami au travers de la mince cloison de chair. Lorsque le gland est accepté, j’avance jusqu’à ce que mes testicules viennent buter sur ses fesses et les couilles de Georges. Nos va-et-vient alternés débutent, très vite elle jouit. Nous persévérons et la faisons « grimper aux rideaux ».

Là, son ...

... langage vulgaire, dans le plaisir, refait surface.

— Oh ! Ah ! Merde, c’est trop bon… Putain… donnez-moi votre foutre… J’en veux dans le cul. J’en veux dans le con…

Elle gémit à présent de plus en plus fort. Nous également, pris dans le flot du plaisir, nous ahanons. Les mouvements s’accélèrent, elle y répond en bougeant ses hanches. Je sens le plaisir monter, mais c’est elle qui explose la première, contractant tous ses muscles, poussant des râles de jouissance. Mon sexe serré dans son écrin moite ne peut plus tenir et finit par exploser en même temps que Georges. Nous la rejoignons dans des râles de plaisir et giclons le reste de notre foutre, Georges dans son vagin et moi dans son cul.

— Milliard de Dieu, ce que c’est bon deux queues en même temps ! Merde, pourquoi ai-je attendu si longtemps pour vivre ça ? Promettez-moi, lorsque je ne serai pas en voyage, de m’inviter dans vos partouzes avec Nat.

Là, Georges et moi sommes un peu hors de combat, et nous nous réfugions dans le sommeil.

Dans la chambre voisine, Robert s’est fait gâter par Véro et Nat qui lui « infligent » une fellation à deux bouches. Lui se contente de les masturber, une main entre les cuisses de chacune, deux doigts dans leur chatte et un doigt dans leur fondement. Lorsqu’elles ont trouvé une nouvelle fois le plaisir, il s’abandonne entre leurs lèvres. Leurs langues nettoient sa verge sur toute sa longueur. Là aussi, après ce dernier sursaut de vigueur, tous s’endorment.

Ce n’est qu’en fin ...