Aveu
Datte: 01/10/2019,
Catégories:
fh,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fdanus,
fsodo,
jouet,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... :
— Vois-tu, je n’ai aucune raison d’être jalouse de toi. Tu n’es qu’un objet à ses yeux. Il a besoin de faire preuve de sadisme pour être complètement heureux et tu es son moyen d’assouvir ses fantasmes. Ça te convient parce que c’est justement le tien que de recevoir ce traitement. Vous y gagnez mutuellement mais lorsque c’est fini, vous vous séparez pour ne vous retrouver que dans ces conditions.
— Parce qu’avec toi, ce n’est pas le cas ?
— Non, nous passons beaucoup de temps ensemble sans qu’il n’y ait rien de sexuel, dit Élodie. S’il venait à passer du temps avec une autre femme, à la préférer à moi en dehors du sexe, là oui, je serai jalouse. De même que je le prendrais mal s’il me cachait une relation ou une "soirée sexe" parce qu’alors, j’aurais l’impression qu’il ne me fait pas confiance ou qu’il a quelque chose à cacher, et j’ose espérer que ce n’est pas le cas. Mais en dehors de cela, non, je ne suis pas jalouse.
La maso réfléchit un instant puis, avec un sourire sadique, lui lança :
— Tu sais pourquoi tu es là ?
Élodie sourit et répondit :
— J’ai ma petite idée sur la question et j’ai comme l’impression que Gilles à l’oreille collée à la porte pour écouter notre conversation entre filles. Gilles ! s’exclama Élodie, tu peux entrer ! Ça sera plus confortable pour écouter.
La porte s’ouvrit et Gilles entra, s’approcha, se mit dans le dos d’Élodie et serra ses hanches dans ses mains.
— Vous avez accepté qu’elle vous tutoie ? s’exclama la ...
... maso.
— Bien sûr, répondit Élodie. C’était à Gilles que je m’adressais, pas à mon maître. Je n’aurais pas osé titiller ainsi mon maître.
— Hum, fit Gilles comme s’il se raclait la gorge. Tu ne t’es pas gênée pourtant dimanche en huit.
— Oui, et j’en ai encore un souvenir cuisant, répliqua Élodie en se souvenant de la quarantaine de coups de chat à neuf queues reçue ce jour-là.
— La punition était-elle imméritée ?
— Bien sûr que non, s’exclama Élodie. Elle ne l’est jamais, maître. Vous ne faites jamais preuve d’injustice, juste d’exigence.
Gilles l’embrassa. Élodie remarqua que la maso les regardait bizarrement.
— Qu’est-ce qu’il y a ? demanda Élodie.
— Rien, dit la maso. Je vous souhaite d’être heureux ensemble. Je vais rejoindre mon maître. Puis-je ?
— Bien sûr, dit Gilles. Tu ne m’appartiens plus, Sylla, tu n’as plus besoin de me demander mon consentement.
Sylla hocha la tête et s’éloigna, refermant la porte derrière elle en sortant.
— Alors, cette soirée ? demanda Gilles.
— Terriblement excitante, j’ai plus envie que jamais de jouir. Vous ne voudriez pas…
— Depuis quand oses-tu me demander cela ? Non, certainement pas. C’est moi qui décide, pas toi ! s’exclama Gilles avant de sourire et de rajouter : Vraiment, tu as aimé ?
— J’ai toujours adoré regarder, dit Élodie.
Gilles sembla ravi de l’apprendre.
— Et toi ? demanda Élodie. Tu as passé une bonne soirée ?
— Excellente, d’autant qu’elle semble s’être très bien terminée.
Élodie sourit puis demanda ...