1. La voix de l'amour, suite et fin


    Datte: 01/10/2019, Catégories: fh, hh, Collègues / Travail vacances, vengeance, Transexuels facial, Oral 69, hdanus, hsodo, Auteur: Balou, Source: Revebebe

    ... ouzo, ou un café grec ?
    — Va pour le café mon chou.
    
    Balou héla le tavernier, « Ena helleïniko métrio parakalo ».
    
    — Tu peux mettre la VOST ?
    — Un café grec moyennement sucré s’il vous plait. Ah Vicky, là faut que tu apprennes le grec, hein ?
    — Hum, tu es très fortiche en jeux de langues, susurra Victoria en posant sa main sur le bras de Balou.
    
    Elle repensait à ce matin sur la plage. Ils s’étaient livrés à une débauche sexuelle sans pareil. Etait-ce dû au soleil et à ses bienfaits ? Peu importait, seul leur amour comptait. À l’évocation de cette matinée, une douce moiteur envahit le ventre de Victoria. Elle se revoyait chevauchant son amant, ses mains griffant sa poitrine, alors que lui, il agrippait ses fesses pour venir à la rencontre des coups de bassin qu’elle donnait.
    
    Une fine pellicule de sable les recouvrit lorsqu’ils arrivèrent à l’extase ensemble. Leurs cris se mêlèrent aux sifflements des mouettes. Ensuite, ils avaient couru nus vers la mer Egée, ensemble ils avaient joué comme de chenapans. Puis, Victoria avait gentiment poussé Balou à s’allonger sur la plage à l’endroit ou les vaguelettes venaient s’abattre. D’autorité elle s’était agenouillée entre ses cuisses, et avec ses longs cheveux mouillés, elle avait entamé une lente masturbation. Balou avait gémit sous cette caresse, la sensation de fraîcheur sur son membre érigé, le rendait fou. Une sirène le branlait.
    
    La bouche de Victoria l’avait ensuite avalé, sucé, pompé, longtemps très ...
    ... longtemps. Plusieurs fois elle l’avait emmené au bord de l’abîme du bonheur, mais se retirant à chaque fois avant l’explosion. Elle mêlait sa chaude bouche à l’eau de mer rafraîchie, ce qui lui permettait de retarder indéfiniment l’orgasme de son ami.
    
    — Vicky, je n’en peux plus, avait haleté Balou.
    
    Elle n’avait rien dit, elle se contentait d’admirer l’œuvre de son agilité buccale et manuelle. Devant son visage se dressait maintenant un pieu de chair, une colonne pointant vers le ciel azur, un menhir attendant de recevoir les offrandes nécessaires. Les bourses étaient pleines, de grosses veines bleues courraient sous la fine peau du tronc. Le gland violet tendu à l’extrême laissait voir sa petite bouche fendue prête à lâcher la semence. Victoria aimait regarder palpiter le désir de son homme, le sentir à sa merci, retarder encore sa jouissance. Elle savait qu’à la libération, des torrents de lave allaient s’abattre sur son visage. Elle verrait Balou se tendre, se tordre. En gémissant, il se redresserait sur son séant, puis se recoucherait immédiatement en éjaculant bruyamment. Il grifferait le sable de ses mains et crierait tout l’amour qu’il lui vouait.
    
    Victoria se rappelait tout cela en dégustant son café. Elle avait vu des jets de sève fuser vers sa bouche. Yeux fermés, elle fut aspergée abondamment par le bonheur qu’elle avait provoqué. La chaleur de la lave ruisselant sur son menton et ses joues, lui avait prodigué une jouissance intime, elle avait lâché de discrets ...
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