1. Léa - Mon esclave (1)


    Datte: 30/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MaitreTristan, Source: Xstory

    Bonjour,
    
    Je précise que cette histoire est vraie dans son ensemble, seuls les noms ont été modifiés pour garder un minimum de vie privée.
    
    Tout commença à Grenoble, ou tout du moins dans ses alentours. J’étais étudiant lorsque nous nous sommes rencontrés. Je suis un homme brun d’un 1m80, pour 72Kg... et de 22cm, pour 6 de large. À l’époque, je n’avais jamais rien fait avec une fille et malgré les nombreuses discussions sexuelles entre potes, je n’avais jamais fait part de mes mensurations, ayant trop peur du ridicule. Oui je ne savais pas ce que j’avais entre les jambes !
    
    J’ai toujours eu des penchants forts pour le BDSM et surtout au niveau des humiliations morales et physiques sur les femmes. Je ne sais pas pourquoi, cela m’excite fortement de soumettre et d’humilier d’innocentes femmes.
    
    Je fis la rencontre d’une fille dénommée Léa, une petite Italienne (1m60) brune aux cheveux longs et bouclés à la poitrine plus que généreuse (E) et au fessier bandant qui était en L (Littéraire). Grâce à un ami à moi nous fîmes rapidement en couple.
    
    Quelques mois plus tard, mon envie de BDSM, s’étant langoureusement impatientée pendant cette relation vanille, resurgit en force. Je savais que Léa était follement amoureuse de moi, et quelle nymphomane... Elle n’avait connu qu’un seul homme avant moi et ça ne s’était pas très bien passé.
    
    Dès que nous avons débuté nos premières relations sexuelles, elle m’a très vite fait comprendre qu’elle me voulait 24h/24 7j/7.
    
    Nous ...
    ... avions alors essayé l’anal plusieurs fois (parce que j’adore ça) mais elle n’aimait pas du tout. Elle trouvait cela très dégradant et douloureux.
    
    Léa ne supportait pas trop l’alcool, ce qui fait que chaque soirée elle me mettait dans l’embarras et cela m’agaçait au plus haut point.
    
    Je décidai qu’à chaque fois qu’elle serait soule, elle aurait droit à une sodomie.
    
    Nous sommes donc en novembre, à la soirée d’un ami commun, Loïc.
    
    La soirée se déroule bien, et ma copine comme à son habitude enchaine les verres. Un, deux puis trois, elle commence à parler fort, et à s’amuser à m’exciter en me touchant l’entre-jambe au milieu des invités.
    
    Me souvenant très bien du deal que nous avions conclu, je m’empressai de l’amener à l’écart de la fête, à l’étage.
    
    — Va dans la salle de bain ! Lui dis-je.
    
    — Je vais enfin pouvoir t’avoir pour moi ! Se languit-elle ne sachant certainement plus ce qu’elle allait devoir subir.
    
    Je referme la porte et lui soulève sa robe rouge qui lui arrivait mi-cuisse. Pas de sous-vêtements ! Je savais qu’elle ne portait pas de soutien gorge car tout le monde pouvait facilement voir ses tétons à travers son haut mais je n’imaginais pas qu’elle serait si salope au point de ne rien porter en bas.
    
    — Suce petite pute ! Et tu m’appelleras Maître désormais.
    
    — Avec plaisir Maitre, sourit-elle, surprise, en se mettant à genoux et déboutonnant mon jean.
    
    Ma queue surgit à son visage et elle débuta une fellation des plus divine. Sa langue ...
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