1. Sortie Scolaire 07


    Datte: 30/09/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    Ch. 7 Fin du séjour.
    
    Hélène CARTIER, c'est la fin du séjour, son « amant » la laissera-t-il en paix
    
    Cette fois la semaine se terminait, le lendemain matin les classes plieraient leurs bagages, en était-elle soulagée, Hélène n'osait même pas se répondre à cette question.
    
    Allongée dans son petit lit de camp, incapable de dormir, elle tentait de résoudre ce dilemme, plus elle réfléchissait à sa mésaventure, moins elle se sentait honteuse de ce qui lui était arrivée, cela l'avait quand même drôlement changée des tièdes assauts de son mari, toujours si fatigué. Elle pressentait que si elle avait pris, bien malgré elle du plaisir aux étreintes qu'elle avait subies, c'était plus par manque que par vérita-ble envie.
    
    Or voilà que le fait de devoir se séparer de son jeune amant, car du rôle de suborneur il était passé à ce titre dans ses pensées, la chagrinait anormalement ; alors qu'elle aurait du se sentir apaisée de ne plus de-voir se plier à ses dictats, voilà qu'elle se surprenait présumant qu'elle les regretterait. Alors qu'elle pensait avoir cédé à ses injonctions pour préserver sa famille, éviter le scandale que la révélation de sa conduite aurait entraîné, elle comprenait que, si au départ, c'était l'entière vérité, il s'y était mêlé, par la suite, une attitude beaucoup plus perverse. Elle savait et devait se l'avouer que dès les premières fornications ses sens s'étaient réveillés, puis habitués rapidement à cette fureur de jouir, jusqu'à sa dernière possession ...
    ... ; elle n'avait jamais subi, auparavant d'enculage, cette pratique lui paraissait d'ailleurs réservée aux prostituées, tant elle lui semblait dégradante, et voilà que maintenant, son opinion avait, même sur ce point évolué. Alors qu'elle croyait que cette fois cela la dégoûterait définitivement de son suborneur, la première douleur, fugace d'ailleurs, passée, elle avait pris un énorme plaisir à cette pratique qu'elle qualifiait de contre nature il y a encore peu de temps. Petit à petit elle devait convenir qu'elle avait évolué, qu'elle s'ouvrait à une sexualité qui jusqu'ici la rebutait, elle ne sortait pas indemne de cette sortie, son corps exigerait à l'avenir plus que ce que son mari lui accordait chichement.
    
    C'est l'esprit encombré d'images folles : elle à genoux suçant le jeune loubard, écartant ses fesses au maximum pour l'inviter à l'empaler, dan-sant nue parmi plusieurs jeunes pour les exciter ... qu'elle s'endormit.
    
    Le lendemain, après le petit déjeuner, alors qu'aux sanitaires elle lavait la vaisselle du petit déjeuner, Franck surgit à ses cotés, il pouvait lui dire ce qu'il voulait, ils étaient seuls, il commença :
    
    - « Alors chérie, remise de tes émotions? Pas trop mal au cul? .... »
    
    - Euh ... Oui ... non ... mais que veux-tu encore?
    
    - « Vous partez demain je crois, on ne peut pas se quitter ainsi .... Mes copains ...»
    
    - « ..... Tes copains? .. Que veux-tu dire? ... »
    
    - « Ils me reprochent d'avoir seul profité de toi. Eux aussi ils veulent te ...
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