1. LEXI 3


    Datte: 30/09/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Lexi Logos, Source: Hds

    Cela fait maintenant six mois que je suis en Afrique, affecté à un groupe nomade autonome. Nous sommes deux métropolitains, les autres sont originaire du pays. Notre travail, assez routinier, consiste essentiellement à faire la tournée des campements nomades et des quelques rares villages. Nous partons en général quinze jours d’affilés et nous revenons au camp pour quinze autres jours.
    
    Les « nomados » ne m’ont apportées aucune surprise, si ce n’est des paysages à couper le souffle, des soins à donner à des enfants, adultes et vieillards, essentiellement des hommes dans la mesure où, visiblement, les femmes ne veulent pas être touchées par un homme.
    
    Coté cul, c’est le désert aussi surement que les paysages qui nous entourent ! J’ai bien eu quelques beaux garçons à côtoyé lors des nomados, amis il n’était pas question d’aller plus loin qu’un discret regard !
    
    J’ai notamment le souvenir de l’un d’eux, sans doute à peine 18 ans, qui s’était blessé à l’aine. J’ai suspecté une blessure par arme blanche, mais pas moyen d’obtenir la moindre confirmation. Toujours est-il que pour soigner sa plaie qui commençait sérieusement à suppurer, il a dû déballer son attirail. A son corps défendant, il m’a présenté une belle verge d’environ 12 cm au repos. Assez fine et agréable à l’œil. Après l’avoir fait allongé sur le tapis au sol, je lui ai fait écarter les jambes et soulever le côté blessé. Ses fesses et ses cuisses étaient magnifiques. Pour faire les soins, j’ai dû écarter de la ...
    ... main ses bourses et sa verge. L’ensemble était d‘une douceur très agréable. Le contact déclencha chez lui un léger frémissement de la queue et un regard gêné à mon endroit.
    
    J’étais en extase. Mais je n’en laissai rien paraitre, le risque d’un incident était trop grand et les conséquences graves. Ces contrées n’acceptent pas l’homosexualité. Ce qui ne veut pas dire qu’elle n’existe pas ni qu’elle ne se pratique pas … bien au contraire ! Mais le fait est tabou.
    
    Je veillais donc à maitriser l’érection qui m’envahissait et j’achevais les soins.
    
    Me redressant une fois terminait, je saisi le regard furtif du jeune homme vers mon sexe. J’ai cru y déceler un vague début de sourire. A-t-il perçu mon trouble ? difficile à dire. Toujours est-il qu’il s’est réajusté et a quitté le toukoul dans lequel je venais de lui faire ses soins.
    
    Lorsque nous avons quitté le village deux après, je ne l’avais pas réaperçu.
    
    Cet épisode, après des mois d’abstinence en dehors de quelques discrètes branlettes, m’avait particulièrement attisé les sens.
    
    Aussi est-ce avec satisfaction que de retour au camp de base, le capitaine m’apprit que j’étais affecté à l’ambassade pour une semaine comme garde de l’ambassadeur.
    
    Le jour dit, je me faisais déposer et me présentais pour prendre mes consignes. L’affaire était simple, j’accompagnais l’ambassadeur là où il allait et je veillais à ce qu’il ne soit pas importuné. A l’époque, contrairement à ce que l’on constate de nos jours, une telle mission ...
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