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Le Club - Partie 14
Datte: 14/03/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byAgentChelateur, Source: Literotica
... douleur. Il l'obligea à se pencher contre le lit. Elle posa sa seule main libre sur les draps de soie pour ne pas s'effondrer. Il lui souleva la robe et abaissa sa culotte jusqu'à ses chevilles. Elle sentit alors son sexe qui se frottait contre les lèvres de son vagin. D'instinct, elle écarta les jambes pour rendre la relation la moins douloureuse possible mais il n'avait jamais eu l'intention d'utiliser cet orifice. Une fois suffisamment excité par ce frottement, il remonta son pénis vers sa raie culière et elle sut qu'il allait la sodomiser. Ce n'était pas la première fois qu'il passait par ce chemin mais avec son membre aux dimensions supérieures à la moyenne et sa brutalité habituelle, cela continuait à être un calvaire pour elle. Elle commença à crier quand il la pourfendit presque de moitié et quand il accéléra sa progression, la douleur devint affreuse. Il avait lâché son bras pour agripper ses hanches et elle en profita pour s'accrocher aux draps comme si cela pouvait amoindrir la douleur qui lui ravageait les entrailles. Quand il commença à la pistonner, elle se cambra encore plus pour enfouir son visage afin de couvrir ses hurlements. Angel n'avait cure de sa douleur affichée, ne se souciant que de son seul plaisir. Il finit par jouir en elle comme il le faisait à chaque fois et elle accueillit cette sensation de chaleur humiliante comme une libération. Un peu plus tard, ils étaient couchés dans l'immense lit. Il l'avait enlacée comme un amant posant sa main sur ...
... sa fesse droite. Un étranger qui voyait cette scène n'aurait jamais deviné qu'il venait de la violer tant elle acceptait docilement son étreinte. Elle réalisa à quel point, il pouvait avoir emprise sur elle dans certaines circonstances et cela la terrorisait. - Reprenons, lui murmura -- t -- il à l'oreille. Nous parlions d'Anne -- Marie. Elle voulut secouer la tête à nouveau mais elle sentit alors sa main arracher le patche qui dissimulait la marque au fer rouge incrustée dans sa peau. Il posa une main sur cette marque et enserra son cou avec l'autre. - Dois -- je te rappeler ce que tu es? la -- menaça -- t -- elle. Ce signe est pourtant là pour ça. Tu nous appartiens, esclave. Je ne suis pas comblé : deux chiennes à demeure ce n'est pas assez, j'en veux plus et j'ai perdu ton dernier petit cadeau. Alors tu as le choix où tu m'aides à trouver une nouvelle locataire ou tu deviens cette locataire. Elle écarquilla les yeux devant cette menace et réfléchit s'il était capable de la forcer à venir s'enfermer en ce lieu de débauche. Sa raison lui disait qu'elle était trop forte pour céder mais une voix au fond d'elle affirmait qu'il finirait par la faire céder comme il y arrivait toujours. Elle perdrait alors son emploi mais surtout sa famille tout cela pour devenir comme les deux fantômes qu'elle croisait chaque fois qu'elle venait. Elle refusait de tomber si bas. - Que voulez -- vous? abandonna -- t -- elle dégoûtée par sa lâcheté. - Tout ce qui n'est pas dans ce ...