Un photographe très intime
Datte: 29/09/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
fouetfesse,
confession,
totalsexe,
Auteur: Thomas Sanders, Source: Revebebe
... me dit :
— Ne t’inquiète pas, il est toujours là…
Finalement, cela m’excite encore plus et j’écarte mes fesses pour sentir le sexe de mon amant encore plus profondément dans ma chatte. Mon bel hidalgo, se méprenant certainement sur mes intentions, sort son sexe de ma chatte et pose son gland sur mon anus.
— Non pas ça…
— Ah, je pensais que…
— Je ne suis pas une adepte de la…
Nous ne sommes pas les rois des fins de phrase.
— Laisse-moi faire. Tu vas aimer.
Enrique frotte doucement son gland entre mes fesses, comme pour me masser. Sans chercher à me pénétrer, ce qui me met progressivement en confiance. Je me détends et il me chuchote des mots crus à l’oreille. Cet homme est diabolique ou il me connaît d’une vie antérieure. Il lève tous mes freins, comme par magie, sachant parfaitement ce que j’attends d’un homme, au moment où je l’attends. Toujours est-il qu’entendre sa voix chaude au creux de mon oreille me donne la chair de poule, et me libère totalement.
Il le sent et presse son gland à l’entrée de mon petit cul qui s’ouvre doucement à cette nouvelle sensation.
La douleur se mêle à l’excitation mais la lenteur de la pénétration me laisse le temps de m’habituer. Enrique s’allonge sur le sol et me demande de descendre sur son sexe.
— Viens ma chérie, c’est toi-même qui va t’enculer. Comme tu le souhaites.
Le mot me fait sursauter. Je l’ai toujours trouvé très cru, très indécent, pour tout dire, vulgaire. Mais là, je ne saurais dire si c’est ...
... l’accent charmant de mon amant ou mon excitation grandissante, mais il provoque en moi comme une déflagration érotique. Je pose les mains sur son torse et descends mon bassin millimètre par millimètre sur son sexe turgescent. Je sens mon ventre s’ouvrir. La douleur disparaît progressivement et laisse la place à un trouble profond. Mon souffle devient court et je m’empale complètement sur son sexe.
— Oui, Enrique, c’est bon, ouiiiiiiiiiiiiiii…
Pour toute réponse, il prend mes fesses à pleine main, les écarte et d’un coup de bassin me pénètre encore plus profondément.
— Ahhhhhhhh…
J’ai des étoiles plein les yeux et sens mon ventre se contracter. Il commence des va-et-vient entre mes fesses qui me tirent des cris de plaisir. Je n’aurais jamais cru ressentir cela un jour. Un plaisir différent, violent, presque animal.
Je ne suis plus qu’une poupée de chair, mais qui garde suffisamment de lucidité pour remarquer notre voyeur en train de prendre des photos au téléobjectif. Sur le moment, cela me laisse indifférente. D’autant plus que l’assaut que fait subir Enrique à mon cul devient frénétique. Ma jouissance est proche et la sienne aussi si j’en crois ses râles.
Son cri me surprend néanmoins. Un cri de délivrance et de domination. Il enfonce l’estocade au fond de mes fesses. Il est le torero, je suis l’animal. Mais à la différence dutoro, je prends du plaisir à me faire sodomiser. Un plaisir fou, même. Un plaisir nouveau pour moi, comme si mon ventre s’ouvrait.
— ...