L'ami de Christian - Histoires de Sexe

L'ami de Christian

... cette brutale pénétration, Sofia pour un cri de douleur et de surprise. En la bourrant, Il lui malaxe les seins en même temps.

Je me caresse en regardant ma copine se faire défoncer. Mais Alain et Christian ne comptent me laisser à mes caresses solitaires.

« En attendant de te la faire Michèle, pompe-nous le nœud ! »

J'ai les joues en feu et pas que.... Pendant que Sofia gueule comme une chienne sous les coups de queue de Thierry, je me met à pomper mes deux hommes.Thierry en bourrant Sofia, lui claque le cul et lui fourre plusieurs doigts dans l'anus. C'est un vrai a****l ce type. Après avoir suffisamment limé le con de Sofia, il présente son gland sur la rosette de mon amie et la pénètre doucement. Sofia, même si c'est une adepte de la sodo, serre les dents sous cette introduction monstrueuse qui risque de la déchirer. Mais elle aime ça et se laisse faire. Il se met à l'enculer avec de plus en plus de v******e. La douleur fait place au plaisir. Thierry est déchaîné et la bourre au rythme des cris de ...

... plaisir de Sofia qui en redemande. Avec son endurance, c'est une vraie bête de sexe.

Je suis lise en levrette et pendant que Christian m'encule, mon mari me baise la bouche.

Soudain, Thierry s’arrête au fond du cul de Sofia et dans un grognement bestiale, il commence à se lâcher au fond de son intestin. Il en ressort rapidement tout en continuant d'éjaculer et pose son gland, dégoulinant de mouille et de sperme sur la bouche de ma copine qui l'ouvre en grand pour continuer de recuillir se geyser qui lâche du sperme sans discontinuer.

« Avale grosse pute ! »

Chacun de ses jets atterrissent dans sa bouche avec force. D’où on est, on ne peu rater les grosses saccades blanchâtres qui tapissent sa bouche et son visage. C'est le moment où Christian et mon mari profite pour jouir sur moi. Thierry, les mains sur les hanches, reprenant son souffle, a la banane, pendant que Sofia lèche le filet de sperme qui sort encore de son gland…

Je ne sais pas ce que nos hommes ont pris, mais ce soir ils nous ont épuisé.