1. Le nouveau mâle dominant de la meute. 1


    Datte: 29/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... raz-de-marée.
    
    Le dernier des cinq mâles présente son gland à deux filles, affolant leurs sens de son odeur musquée. L’une lui lèche les couilles et la hampe pendant que l’autre glisse son gros bout au plus profond de sa gorge.
    
    Enfonçant les doigts dans ses cheveux, il va et vient dans sa bouche comme si c’était une chatte et moins d’une minute plus tard, il se cambre tandis que ses giclées de sperme arrosent les visages des filles qui savourent le goût salé de sa semence.
    
    Ils sont là, ils attendent patiemment leur tour. Dès qu’un se retire, un autre arrive et le remplace. Les chattes et les culs sont tellement dilatés et graissés de foutre que ça devient facile maintenant, tout pourrait rentrer dans ces puits sombres.
    
    Plus tard, quand ils sont enfin rassasiés, repus de sexe et les couilles vides, ils s’étendent sur le bord de la piscine. Tout cette orgie n’a pas duré plus d’une heure.
    
    Les protagonistes redescendent enfin sur terre et se rendent seulement compte que nous n’avons pas participé à leur partie de jambes en l’air.
    
    Bien entendu, c’est Paul qui décide de se foutre de nous :
    
    -Alors Marie ! Ça ne t’a pas plu ? Tu n’aimes-pas les grosses bites ? Se gausse-t-il. Et pourquoi as-tu amené ton couilles-molles de frère ?
    
    -A nous frérot ! Montrons leur pourquoi tu es là !
    
    Je me tourne vers lui et déboutonne son pantalon que je baisse, découvrant la racine de son sexe. Il ne bande pas du tout, je continue à baisser son pantalon et découvre à la vue ...
    ... de tous une queue qui n'en finit pas de se déployer. C'est un véritable serpent.
    
    Je me précipite sur son nœud et le suce comme une furie jusqu’à ce qu’il commence à se raidir et prendre une taille colossale.
    
    Je lui retire son polo et dégage ses jambes du pantalon. Les filles ne peuvent quitter des yeux ce sexe monumental, raide comme la justice et pratiquement plaqué contre son ventre. Les garçons non plus d’ailleurs.
    
    Une véritable barre-à mine, beaucoup plus large que mon poignet, aussi longue que mon avant-bras, cache son nombril d’un gland trigonocéphale monstrueux, encore plus large que la hampe déjà hors normes.
    
    Une paire de couilles proportionnelle à la hampe magnifique est suspendue dessous.
    
    Ils ont tous l’air stupides et ahuris, hébétés de voir une bite si volumineuse car mon frère et plutôt fluet et ressemble à un ado boutonneux.
    
    Les conversations se sont tues depuis un moment déjà. Ils sont tous comme abasourdis de voir une telle matraque barrant le ventre de mon frère.
    
    Je me tourne vers Paul et lui réponds enfin :
    
    -Si ! J’aime les grosses bites ! Mais comme tu le vois, tu fais plutôt petit à côté du gros porteur de mon frangin ! Hein les filles ?
    
    Mon frère va vers les filles qui écarquillent les yeux parce qu’elles n’ont jamais vu une aussi grosse bite bien qu’il ait un peu débandé.
    
    Il passe entre elles et Lucie se précipite vers lui pour l’implorer :
    
    -Oh elle est belle ta teub ! Je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, tu me laisses la ...