1. Telle paire... tel fils. (4)


    Datte: 29/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... les deux bites, serrées l’une contre l’autre semblaient devoir faire éclater la matrice. Elles étaient comprimées et leurs mouvements additionnés donnaient l’impression d’être masturbé par plusieurs personnes.
    
    Je sentis le mec se tendre... J’avais la chance d’avoir déjà déchargé et d’être par conséquent plus long à venir, sans quoi, j’aurais été le premier à spermer. Le mec se raidit, ferma les yeux et murmura:
    
    - Putain... c’est bon, c’est bon...ouais, je viens, je viens... j’vais te remplir l’outre, salope... OOOOOOOH....
    
    Sa bite palpita encore et je sentis le foutre remplir la cavité, tremper ma verge, suinter sur ma hampe, dégouliner à mesure que je continuai à forniquer.
    
    Il ressortit son vit et c’est la bite paternelle qui vint se coller contre la mienne. Le con était tellement lubrifié que les bites glissaient l’une sur l’autre. Je laissai faire, un peu fatigué. Mon père démenait ses reins et pinait sans mollir.
    
    - Allez, bouge-toi Jules, qu’on la remplisse ensemble !
    
    Me cramponnant fortement à la donzelle dont les cris auraient ameuté tout le voisinage n’eut été l’épaisseur du double vitrage, je me mis donc moi aussi à aller et venir avec ardeur. Parfois ma queue sortait et je l’empoignais, toute gluante et chaude pour l’appuyer sur la queue de papa et la forcer à se faire un passage.
    
    Au bout de quelques minutes, je me raidis.
    
    - Tu viens là ?
    
    - Ouais p’pa , j’suis booonn... j’vais gicleeer !
    
    - OK !
    
    Alors il accéléra. J’éjaculai ...
    ... faiblement. Une fois terminé mon gland devint extrêmement sensible et il était sollicité par celui de mon père ce qui me provoqua des plaisirs inconnus avant que je ne sente la semence qui m’avait engendré se répandre dans la femme qui exulta de bonheur.
    
    Nous ressortîmes de la chatte et nous joignîmes à nos partenaires qui, debout, avaient assisté à la fin de la scène. Nous contemplâmes la femme se détendre.
    
    Le mari se pencha vers elle, lui fourra deux doigts dans la chatte et les lui fit lécher et il s’y reprit trois ou quatre fois. Elle tétait tut goulument.
    
    — Tu nous prépares l’apéro chérie maintenant que t’as eu le tien ?
    
    Elle leva son gros cul du lit et partit vers le salon en nous regardant lascivement. Sans se rhabiller son mec la suivit.
    
    - Vous venez ?
    
    Tous à poil, les queues pendantes, flasques, rouges, humides, les poils retenant des traînées ou des boulettes de sperme, les corps en sueur, nous nous installâmes dans le canapé et les fauteuils.
    
    Le mari sortait des verres.
    
    - Alors, dites-moi, comment on en vient à baiser la même fille quand on est père et fils ?
    
    - Et si vous nous disiez d’abord comment on en vient à laisser sa femme se faire démonter par quatre mâles en rut ?
    
    - Ah quatre ! Mais c’est pas son record.... enfin je vais cous raconter. Adèle était en fait la femme d’un bon pote. De mon meilleur pote en fait. On faisait du foot ensemble. Moi je fantasmais sur elle... mais elle était à mon pote... Je remarquai bien qu’elle venait un peu ...