1. Collocation


    Datte: 29/09/2019, Catégories: Hardcore, Première fois Inceste / Tabou Auteur: wolfie91, Source: xHamster

    ... Euh…
    
    — Tu vois, dit Virginie, tu es jalouse.
    
    — Non, je dirais plutôt que moi, ça m’a excité de vous voir comme cela et je crois simplement que je n’étais pas la seule. Tu as mis Franck dans un état… Il n’a pas arrêté de mater ton décolleté. Et toi, ose dire que ça ne t’a rien fait.
    
    — Ben, c’est vrai que c’était très agréable. Franck est tellement doux. Ses caresses m’ont troublée.
    
    — Alors je trouve que tu lui dois bien une récompense. En plus, le pauvre, il s’est fait frapper pour rien.
    
    — À quelle récompense tu penses ? demanda Virginie.
    
    — Eh bien, je trouve que tu pourrais au moins l’embrasser, répondit Martine.
    
    — Ah, si c’est que ça ! répliqua Virginie, en me faisant une rapide bise sur la joue.
    
    — Non, non, pas comme cela, c’est trop facile, sur la bouche, comme sur la piste de danse, insista Martine. Il me semble que vous n’avez pas eu le temps de finir ce que vous aviez commencé. C’est la moindre des choses, non ?
    
    — Mais c’est ton mec, non ? répondit Virginie.
    
    — Oui, mais c’est aussi mon cousin et vous en aviez tellement envie tout à l’heure, que vous devriez finir. Allez, roulez-vous une pelle, qu’on en parle plus, ajouta Martine.
    
    Virginie, qui était assise à côté de moi sur la banquette, me regarda dans les yeux.
    
    — Bon, puisqu’elle insiste, dit-elle.
    
    Elle approcha ses lèvres des miennes. Sa langue vint chercher la mienne dans ma bouche. Martine me prit la main et la posa sur la poitrine de son amie. Ce contact la fit sursauter. Je ...
    ... sentais ses tétons durcir entre mes doigts. Comme par réflexe, ma main pétrissait ce sein déjà dur. Mon sexe retrouvait sa forme et tendait de nouveau le tissu de mon jean. Martine prit la main de son amie, la posa sur la bosse de mon pantalon et me caressa. Notre baiser devenait de plus en plus torride, mais ni l’un ni l’autre ne voulions l’interrompre. Martine délaissa la main de sa copine pour guider la mienne sous le haut de Virginie. Ma main était maintenant directement en contact avec sa peau, avec son sein.
    
    Soudain, Virginie s’écarta.
    
    — Oh là, dit-elle, on se calme, euh… je crois que je vais rentrer maintenant.
    
    Martine se pencha et lui parla à l’oreille.
    
    — Mais ça ne va pas, ta tête ! dit Virginie. Tu es complètement folle !
    
    Martine lui parla une nouvelle fois à l’oreille, puis se leva et se dirigea vers la salle de bain en disant :
    
    — De toute façon, je vous laisse, je vais prendre une douche.
    
    Dès qu’elle eût disparu, je demandai à Virginie :
    
    — Qu’est ce qu’elle t’a dit ?
    
    — Humm, c’est un peu embarrassant. Tu vas me prendre pour une salope.
    
    — Mais non, vas-y racontes, ajoutai-je, j’ai quand même bien le droit de savoir.
    
    — En fait… euh… je lui avais raconté que lorsqu’un mec mignon me draguait et qu’il devenait… euh… comment dire… trop pressant, il m’arrivait de lui faire une petite… euh… tu vois quoi pour le calmer…
    
    — Et ?
    
    — Et elle m’a dit que la moindre des choses que je puisse faire, pour toi… c’est de t’en faire une, et c’est ...
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