Prise devant mon mec (5)
Datte: 29/09/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: donico, Source: Xstory
... au bout de nos surprises. Que va-t-il encore inventer pour nous torturer ?".
Nous avons regardé ensemble plusieurs robes, Hugo m’en a conseillé une et Nabil une autre. Je préférais celle de Nabil, mais je me serais coupée le sein gauche plutôt que de le reconnaître. J’ai donc prétendu qu’elles étaient bien toutes les deux.
— Va donc les essayer, a suggéré Nabil avec son habituel sourire pervers.
« Que mijote-t-il encore ? »
Je me suis donc dirigée vers les cabines d’essayage, avec mon copain et celui qu’il fallait bien appeler mon amant aux trousses. Je me suis glissée à l’intérieur, puis j’ai commencé à me changer. J’avais pourtant à peine retiré la moitié de mes vêtements que la main de Nabil s’est glissée à l’intérieur, en tenant mes sous-vêtements fraîchement achetés.
— Met ceux-là, ce sera plus joli avec.
Je les ai attrapés, il s’agissait bien sûr de l’ensemble microscopique qu’il avait choisi. Mais admettons, j’aurais de toute façon une robe par-dessus.
J’ai donc continué à me déshabiller, jusqu’à me retrouver totalement nue dans la petite cabine d’essayage. Je me suis arrêtée un instant, songeant presque à jouer un mauvais tour à Nabil : je pourrais appeler Hugo, lui demander de me faire l’amour là, juste sous l’oreille envieuse de ce prétentieux. Mais je n’ai pas osé, et de toute façon Hugo n’aurait pas accepté. Il n’aime pas tout ce qui sort de l’ordinaire… et je suis censée ne pas vouloir faire l’amour avant le mariage !
Pendant une seconde, ...
... bien malgré moi, je me suis imaginée faire l’inverse : appeler Nabil et faire l’amour sous le nez de mon copain. Idée ignoble, mais qui m’a immédiatement fait ressentir une certaine chaleur dans l’entrejambe.
« Mais pourquoi faut-il que je ressente ça ?! »
J’ai laissé ces pensées pour plus tard, puis je me suis rhabillée. J’ai enfilé les sous-vêtements de Nabil, puis la première robe (celle d’Hugo). Une fois cela fait, je les ai hélés.
Le rideau s’est ouvert sur les deux mecs, qui avaient tous les deux un sourire conquis. Hugo, le gentleman, regardait la robe avec admiration.
— Waouh ! T’es super belle là-dedans ! a-t-il lancé.
Nabil, le pervers, observait mes courbes avec délectation.
— Pas mal, a-t-il renchéri, mais elle ne met pas assez en valeur tes seins je trouve.
Cela lui a attiré un regard noir de mon copain, mais je ne crois même pas qu’il s’en soit aperçu. Mon sans-gêne de collègue s’est alors glissé dans la cabine, puis il m’a contournée pour m’observer sous tous les angles. Bientôt, j’ai senti ses mains dans mon dos.
— Attends un peu, il y a un truc qui me dérange.
Le temps que je comprenne ce qu’il faisait, il était déjà trop tard : il avait défait mon soutien-gorge, puis il l’a retiré d’un geste vif en l’attrapant par-devant. Non sans m’effleurer brièvement les seins au passage, ce que n’a pas manqué de remarquer Hugo. Il n’a pourtant toujours rien dit.
— Ça fait quand même plus joli avec la robe.
Tu parles ! J’avais maintenant ...