1. Rencontre avec deux escortes dominatrices


    Datte: 28/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: sexsoum75, Source: xHamster

    ... que tu touches chez moi !
    
    Et disant cela, elle vient s’asseoir sur mon visage. J’ai le nez enfoui dans sa chatte, la langue à hauteur de son anus, je n’ose rien faire, car le coup de pied dans mes couilles me fait encore souffrir, mais je suis au paradis malgré ce tissu de leggings qui m’empêche de profiter de sa peau.
    
    - Passe me chercher ici, je finis le vieux et on va chez Samia. Dit-elle en donnant mon adresse.
    
    Elle se lève, me fait mettre debout, me gifle à nouveau, me prend par les couilles et vient se coller à moi. - Plus jamais tu ne me touche si je ne l’ai pas décidé vieux bâtard ! Je ne suis pas comme mes copines moi, c’est beaucoup plus cher si tu en veux plus ! Elle m’écrase les couilles, me pince très douloureusement un téton, mais elle est collée à moi, je sens son parfum, la peau de son cou n’est qu’à 5 centimètres de ma bouche, j’ai tellement envie de l’embrasser quand je vois comme ça ses lèvres à portée de ma langue. Mais vu qu’elle maintient la pression de sa main sur mes couilles je n’ose pas, car je sens bien qu’elle n’hésitera pas à me les exploser, elle me fait déjà terriblement mal, mais c’est si bon de la sentir collée à moi comme ça.
    
    Alors que je suis debout, elle me fait mettre les mains derrière la tête. Je pense qu’elle a bien vu quel effet elle me faisait. Pendant une demi-heure, j’ai droit à tout. Ses ongles qui strient ma peau dans le dos et sur mes fesses, des fessées magistrales accoudé sur la table de salle à manger, la queue ...
    ... étirée comme un élastique et légèrement branlée. Elle ne cesse de venir de frotter à moi, de me distiller de douces insultes. Elle me fait raconter certaines expériences passées. Ses mains glissent sur moi, et à chaque fois je bande de plus belle, je ne me souviens pas d’avoir bandé comme ça depuis longtemps. Ponctuellement des claques sur la queue amplifient le phénomène. Elle vient frotter ses fesses contre moi, se moque de moi et de ma bite, me torture les tétons en riant de la douleur qu’elle m’inflige. Elle me parle à l’oreille, je sens son souffle, son parfum. Elle caresse ses seins devant moi (après avoir retiré sa ceinture et soulevé son pull). Ils sont tout simplement parfaits. Elle me dit que jamais ils ne seront à moi. À chaque fois qu’elle vient se frotter à moi, je sais que je vais avoir mal. Je hurle à chaque coup quand elle me fouette de sa ceinture alors que je suis à 4 pattes. Je l’entends rire, elle y prend du plaisir, je l’amuse, mon dos et mes fesses me font vraiment souffrir, mais comme elle me l’a demandé, je dis toujours « encore mademoiselle » jusqu’à ce qu’elle daigne s’arrêter.
    
    - Va me chercher ton gode et ton gel vieille salope !
    
    Ils sont a portée de main dans un tiroir, je lui tends.
    
    - Gode-toi devant moi vieux PD, je veux voir ton trou du cul de vieille pédale bien ouvert !
    
    Elle n’a pas à me le dire deux fois, je mets du gel, je m’enfile assez facilement deux puis trois doigts dans le cul, je prends une gifle, car ça ne va pas assez vite, ...
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