1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (2)


    Datte: 28/09/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    Salut c’est votre folle de lycra
    
    Faire un second chapitre à la hauteur du premier va être dur, mais je vais faire de mon mieux.
    
    Je suis donc Coralie une grande et jolie fille étudiante à la fac d’Orsay, je suis logée chez l’habitant et j’habite la petite ville de Luigny, toute proche d’une bretelle sur l’autoroute dans le sud de l’Eure-et-Loir. Étant un peu tête brûlée, j’avais décidé de rentrer tous les weekends à la maison en stop car on allait beaucoup plus vite qu’en prenant le train et je n’avais pas de voiture. Il y avait un grand risque d’autant que je suis quand même mignonne et mes parents étaient toujours inquiets que ce soit à l’aller ou au retour. À ma grande surprise, un vendredi soir une magnifique limousine à réputation sportive s’est arrêtée. Pour mon plus grand bonheur, la propriétaire m’a déposée au péage désiré, après m’avoir récupérée un dimanche soir où durant le retour nous avons fini par lier amitié et avons pris l’habitude de faire les voyages ensemble. Cette femme d’une grande beauté, prénommée Geneviève était une riche héritière, et surtout actionnaire dans de nombreuses entreprises prospères. Bien évidemment dans sa voiture, elle avait une conductrice prénommée Muriel, qui était toujours d’une grande discrétion.
    
    Le problème c’est que cette femme, largement de l’âge de mes parents, d’une grande beauté et d’une assurance à toute épreuve, me troublait. Ayant vu, à mon téléphone, que je ne roulais pas sur l’or, cette bienfaitrice m’avait ...
    ... offert le tout dernier téléphone de la firme de Cupertino. Sur le dernier trajet du dimanche, je n’ai pu cacher le trouble qu’elle provoquait en moi, ce soir-là je me suis retrouvée à caresser et embrasser cette femme. Nous avons même poussé le vice jusqu’à échanger nos culottes avant de nous quitter. Je peux vous garantir qu’une fois rentrée chez ma logeuse, j’avais la tête complètement tourneboulée. J’avais l’impression que ce que je venais de vivre avec Geneviève n’était pas un acte lesbien, mais juste le résultat de deux femmes qui s’étaient laissées aller. Je venais de poser mes sacs dans ma chambre, je me suis empressée de saisir dans ma poche, la culotte tout humide de Geneviève pour la sentir. Au bout de dix minutes, j’ai pu constater que Geneviève était autant troublée que moi car j’ai reçu un SMS de sa part où elle s’excusait pour ce moment d’égarement.
    
    [SMS]
    
    > Vous n’avez pas à vous excuser
    
    > Inconsciemment, je désirais ce moment.
    
    > Vu la tournure des événements, cela ne pouvait finir que comme ça.
    
    Je lui écrivais ces petits messages avec mon cœur, ils étaient sincères pour ne pas dire bruts de décoffrage. Je me suis aussi autorisée à lui avouer qu’au moment où j’ai reçu ses messages j’étais en train de humer sa culotte mouillée.
    
    [SMS]
    
    < Je suis en train de faire la même chose Coralie.
    
    < Vous m’avez troublée, vous aussi, dès la première fois où je vous ai vue, sur cette bretelle d’accès à l’autoroute A10.
    
    < Voilà pourquoi la première fois j’ai ...
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