Choses inattendues de la vie (1)
Datte: 28/09/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: delicat90, Source: Xstory
... d’Alejandra devient de plus en plus fort. Ses jambes se détendent et les talons (ces talons qui m’embêtent chaque soir vers minuit) frottent un peu sur le bois du parquet. Alejandra les retire l’un après l’autre avec ses pieds et les repousse loin, vers moi...
Les lèvres toujours emmêlées avec un peu de salive qui commence à couler sur le côté de la bouche de Maria, Alejandra cherche les seins de son amie en plongeant sa main droite par le col du T-shirt. Elle en extrait un, gonflé, ferme et appétissant comme une miche chaude qui sort du four. Elle commence à le malaxer entre ses doigts puis à en pincer le téton qui était déjà bien dur.
Soudain, Alejandra quitte la bouche de son amie, se redresse un peu pour se mettre à califourchon, les genoux de chaque côté des cuisses de Maria et ses deux mains prennent le visage pour l’attirer vers un autre baiser plus fougueux, plus profond et plus bruyant que le précédent.
Penchée comme elle était sur son amie, l’arrière de son corps, ses belles fesses diaboliques se retrouvent face à moi, à moitié dénudées. De plaisir, elles esquissaient un mouvement en spirale qui ne faisait que s’accentuer, avec les bruits des bouches.
Pendant que d’une main Maria finissait de monter la robe d’Alejandra pour lever le voile sur ce qui m’était encore caché du fessier danseur, son autre main s’est levée vers le plafond et, d’un doigt, elle semblait m’indiquer avec un geste répété cet endroit splendide qui me regardait avec ses cuisses ...
... serrées autour de jolies lèvres roses et gonflées de désir, avec son petit trou de haute couture, qui semble ne jamais avoir été visité...
Je n’étais plus en état de chercher à comprendre.
Je n’avais plus besoin de chercher des mots pour séduire. J’ai senti qu’il fallait que j’y aille à mon tour !
Je m’approche doucement de la fournaise toujours en mouvement. J’arrache presque les boutons de mon jean et le descends en même temps que ma culotte... Mon sexe déjà bien dur était juste à la hauteur des lèvres humides de ma voisine. Quand il les a touchées, Alejandra eut comme une onde électrique qui a parcouru tout son corps. Un instant, j’ai eu peur qu’elle réagisse mal et qu’elle se retourne... qu’elle se redresse, qu’elle m’insulte dans son espagnol si mélodieux... Mais, au lieu de tout ça, elle recule aussi loin qu’elle put son beau fessier pour se rapprocher de ma belle verge.
J’ai d’abord commencé à frotter ma verge de haut en bas entre les grandes lèvres qui ne tardèrent pas à me la mouiller. Et, pendant que ma belle voisine cherchait mes couilles de sa main droite pour me les malaxer, j’ai entrepris de frotter maintenant mon sexe entre les belles fesses, mais en m’attardant avec mon gland sur le petit trou haute couture.
Alejandra commence à haleter, à râler un peu et à essayer d’accompagner mon geste de va-et-vient loin de sa chatte. Jusqu’au moment où je l’entends crier presque « Penetrame Tony, tu pene dentro »...
Je recule légèrement pour pouvoir pointer ...