Agnès
Datte: 28/09/2019,
Catégories:
ff,
vacances,
piscine,
école,
amour,
Oral
69,
confession,
Lesbienne
Auteur: Adrien, Source: Revebebe
... jusqu’à une pizzeria à deux pâtés de maisons de l’immeuble. Quand nous fûmes installées, elle demanda au serveur d’allumer la bougie qui se trouvait sur la table.
À notre retour elle me dit qu’elle avait envie d’une douche. Son regard m’y invitait, je l’ai suivie dans la salle de bains. Nous-nous sommes lavées mutuellement puis, à peine sèches, nous avons couru jusqu’au grand lit qui ne resta pas froid très longtemps.
Inconsciemment nous attendions ce moment depuis le départ. L’excitation monta vite en nous. Nos mains s’occupaient du sexe l’une de l’autre. Nos bouches les remplacèrent vite pour un soixante-neuf qui fut bref mais intense.
C’est ensuite que le vrai moment de bonheur de ce week-end est arrivé. Pour la première fois, nous allions nous endormir nues dans les bras l’une de l’autre. Nous allions passer notre première nuit ensemble et nous réveiller côte à côte. J’aurais aimé prolonger ce délicieux moment à l’infini, mais j’ai senti le sommeil m’envahir et je m’y suis abandonnée, heureuse.
Quand je m’éveillai, le petit matin filtrait à travers les interstices du volet roulant. J’étais allongée sur le côté et je sentais le ventre et les seins d’Agnès contre mon dos. Elle m’enlaçait dans son sommeil. Je suis restée un long moment ainsi, sans bouger, à écouter sa respiration, à sentir son souffle sur ma nuque, à lui tenir la main qu’elle avait passé sous mon bras et qui reposait sur ma poitrine.
La montée du jour a dû la gêner car elle se retourna, me ...
... libérant. Je me levai en prenant soin de ne pas la réveiller et j’allais faire pipi et boire. De retour dans le lit, je me plaçai pour la regarder dormir. Il faisait très bon dans l’appartement, je n’eus pas besoin de me couvrir. Je la trouvais belle. Ses cheveux, très courts, n’étaient pas en désordre comme les miens, Ses lèvres étaient entrouvertes j’y déposais un léger baiser. Elle était sur le dos, les bras relevés les jambes écartées. J’hésitais à peine avant de me glisser tout doucement entre ses cuisses.
La sensation sur ma langue était insolite car les replis de sa vulve n’avaient pas la moiteur que j’avais l’habitude d’y trouver. Quelques minutes plus tard, je perçus le goût que j’attendais. Ses cuisses s’écartèrent d’avantage et je sentis sa main sur mes cheveux. Relevant les yeux, je la vis qui me regardait. De son autre main, elle se titillait un mamelon. Ce genre de détail, dont elle avait le secret, avait le don de beaucoup m’exciter. Elle le sentait et en jouait souvent. Mes mains remontèrent sur sa poitrine et elle me laissa m’occuper de ses seins. Elle se plaça confortablement pour attendre l’orgasme. Je sus qu’il montait quand ses mains vinrent appuyer sur ma tête pour plaquer ma bouche active sur son sexe dont je sentis longuement les palpitations sous ma langue.
— C’est agréable d’être réveillée comme ça, dit-elle. C’est la première fois que ça m’arrive.
— Je me doutais bien que ça te plairait, répondis-je, espiègle.
À quatre pattes, je remontai ...