La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1049)
Datte: 11/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... des spasmes d’envie dans mon bas-ventre. Lorsque j’eus fini, je lapai longuement l’eau salvatrice de la gamelle et je me reculais et me mis en position face à Lui et j’attendis ainsi de longues minutes. Manger m’avait fait du bien, je me sentais somnolente. Je luttais pour ne pas fermer les yeux, ayant peur de m’endormir et de mécontenter le Maître. Pourtant je me sentais, légèrement, mais sûrement vacillée. Et ce que je craignais arriva, je m’étalais, je ne sais trop comment, sur le sol. Quand j’ouvris les yeux, le Maître était près de moi, souriant, et me caressant doucement les cheveux.
- Eh bien ma chienne ! Tu as l’air plus fatiguée que je ne le pensais. Ta santé est un de Mes devoirs, tu le sais. Si vous vous engagez tous à m’offrir tout ce que vous êtes, tout ce que vous avez, je me dois d’y veiller. Je vais donc te faire raccompagner jusqu’à ton Cachot. Je n’ai plus besoin de toi pour aujourd’hui. Je te laisse libre de décider si tu veux ou peux te déplacer en quadrupédie ou en bipédie. Tu ne seras pas sanctionnée quel que soit ta décision. Allez, va Ma belle petite chienne ! Demain, tu devras, comme toujours, me montrer ta totale dévotion et ta parfaite confiance en Moi !
Et sur ces mots, alors qu’Il déposait un baiser sur mon front, Walter entra, sur Son invitation et vint me fixer ma laisse à mon collier et je choisis de partir à quatre pattes. J’étais fatiguée, certes, mais ce n’était pas cela qui allait m’empêcher de rester à ma place ! Walter dut voir ...
... cependant que je n’étais pas au meilleur de ma forme, car il allait d’une allure douce. Habituée à un rythme plus soutenu, j’avais du mal à contrôler ma vitesse de pas pour ne pas me retrouver à sa hauteur. Quand le Majordome ouvrit mon Cachot, j’eus vraiment la sensation d’être réellement de retour. Il m’attacha à la chaine crocheter dans le mur et m’ordonna de me coucher sans attendre dans ma panière de chienne. Lorsque ce fut fait, il déposa une épaisse couverture sur mon corps allongé en chien de fusil. Il n’eut pas le temps d’atteindre la grille et de la refermer que je m’étais déjà endormie, sans le savoir sous le regard vigilant et protecteur du Maître Vénéré, qui suivait le moindre de nos mouvements via une caméra placée dans un angle de la pièce.
Le lendemain matin, ce fut une esclave, et non pas comme à l’accoutumée Walter ou Marie, qui vint me réveiller, et je compris qu’il était bien plus tard que d’habitude. Je la regardais d’un air interrogatif, n’ayant pas le droit de parler sans autorisation. Elle me sourit d’un air apaisant et déposa au sol la traditionnelle gamelle du matin que tous les membres du Cheptel avaient pour leur petit déjeuner, et à coté elle déposa un papier. Elle me sourit à nouveau et sortit. C’était un message du Maître Lui-même :
« Je t’ai dit que je te voulais en pleine forme ce soir, au mieux de tes capacités. Je t’ai dit également que tu serais l’une des attractions de la soirée. A vrai dire, tu en seras la principale. Je n’ai d’autres ...