Un hôtel particulier
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
fbi,
nympho,
hotel,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couple+f,
Collègues / Travail
Auteur: Jade.E, Source: Revebebe
... m’emmène à travers les couloirs de l’hôtel, vêtue juste de mes bas. Arrivée devant la porte 203, elle frappe et nous entrons.
— Tiens, je t’amène un cadeau, elle est prête, nous te l’avons préparée. Elle mouille tellement que tu peux la prendre sur le champ.
— Merci Sophie, je vais bien m’en occuper.
Elle sort et me laisse avec l’homme. Il me laisse debout au milieu de la chambre, s’accroupit et titille ma chatte. Mon liquide coule.
— Hum, Sophie n’a pas menti, tu es plus que prête !
Je pense : «arrête de parler et baise-moi salaud ». Il lit dans mes pensées, plaque mes mains contre la porte, met mon bassin en arrière et sa bite prend possession de mon antre.
— Hummmm !!! oh oui, vas-y ! bourre-moi ! plus fort ! oh oui ! encore ! plus loin ! oh que c’est bon !
Mon vocabulaire s’adapte à ce qu’il me fait. Ses coups me font le plus grand bien. Accroché comme si sa vie en dépendait à mes hanches, il me baise comme un beau diable. Je lui arrache les tympans lors de mon orgasme. Je suis secouée par le plaisir lorsqu’à son tour, il se vide les couilles.
— Tu es trop bonne. Une vraie petite salope !
Je ne réponds pas mais oui, je suis une vraie petite salope. Je suis du genre fidèle mais cet hôtel me fait devenir limite nympho. Il m’honore une seconde fois et je prends autant de plaisir. Lorsque je regagne la lingerie, je ne suis pas fière, non pas de ces moments de délice sexuel, mais de ma tenue. À poil, juste vêtue de mes bas, j’ai peur de croiser des ...
... clients. J’arrive à la lingerie sans encombre ou presque. Mon cher patron est là. Lorsqu’il me voit arriver ainsi, il prend un air sévère.
— Est-ce une tenue à avoir dans cet hôtel ?
« Voyez ça avec votre fils et votre belle fille », pensé- je.
— Suis désolée, j’ai eu un petit incident.
Et quel incident ! Ma chatte en frétille encore.
Il s’approche de moi, me renverse contre la table, écarte mes jambes, glisse sa main entre et dit :
— Ça t’excite en plus, traînée !
Sans plus attendre, il sort son engin et me le fourre sans délicatesse dans ma zone humide. Je suis sûre qu’il était derrière la porte quand le client m’a ramonée. Sa bite est tellement tendue, qu’il a dû s’exciter tout seul lorsque je beuglais sous l’assaut du type de la 203. J’en suis là de mes pensées lorsque je sens mon petit trou se faire attaquer. Il insinue un doigt dedans qu’il tournoie pour ouvrir cette porte étroite. Il retire son pieu de ma chatte, enduit ses doigts de ma mouille et l’étale sur mon petit orifice. Deux doigts en prennent possession. Ma porte privée s’ouvre un peu plus. Il tente un troisième doigt et la porte cède. Elle est ouverte. Il frotte sa bite contre et entre d’un coup sec. Un petit cri de douleur s’échappe de ma gorge vite remplacé par des cris de plaisir. Sa grosse queue n’y va pas de main morte. Il m’encule bestialement. Ce qui a le don de me déchaîner. Je lâche un bout de la table pour me fourrer la main dans la chatte. Je ne suis plus moi-même. Me faire ...