1. Incertitudes hivernales (15)


    Datte: 27/09/2019, Catégories: Hétéro Auteur: fantaflo, Source: Xstory

    Je me réveille juste après 8h et me lève pour aller aux toilettes. Maryline est réveillée lorsque je reviens. Smack. Elle va à la salle de bains. Comme moi, elle s’est lavée les dents. Nous rions. Nos baisers nous conduisent ensuite un rapport d’une grande tendresse.
    
    Je propose ensuite à Maryline, comme la veille, d’aller prendre le petit-déjeuner en ville. Puis nous verrons.
    
    — J’ai adoré me balader avec toi et écouter tes explications sur les lieux et les monuments.
    
    — J’y connais rien !
    
    — C’est suffisant pour moi.
    
    Nous rions et nous embrassons. Je m’habille rapidement pour laisser la salle de bains à Maryline. Un quart d’heure plus tard, elle me rejoint, vêtue de sa robe portefeuille verte. Des obus à la place des seins.
    
    — Tu es trop belle. Et sacrément sexy. Tu as mis des bas ?
    
    Maryline soulève sa robe.
    
    — Première fois !
    
    Je la soulève un peu plus haut pour voir ses fesses. Je l’embrasse.
    
    — Tu m’excites.
    
    — Je ne veux plus sortir.
    
    Je ris, elle aussi.
    
    Au café, plusieurs hommes se retournent pour regarder Maryline et la jeune femme s’en rend compte. Une fois assis, elle sourit et rougit.
    
    — Ça te gêne ?
    
    — Non ! C’est juste... inhabituel !
    
    Elle rit. Dans ce café, le petit-déjeuner se présente sous la forme d’un buffet. Je laisse Maryline y aller seule et surveille discrètement les regards. Je la rejoins ensuite. Je l’embrasse et pose ma main sur ses fesses. Elle sourit tendrement.
    
    Nous déjeunons puis quittons l’établissement et ...
    ... nous baladons en ville. Nous faisons de nombreux selfies. Avec la complicité de Maryline, je fais aussi des photos sous sa robe. Je pense soudain à un rempart à quelques kilomètres. Nous reprenons la voiture et y allons. L’endroit n’est pas ouvert au public, mais un des nombreux accès au site est bloqué par une porte qui ferme mal. Il y a des années que je ne suis pas venu ici mais rien n’a changé. Nous longeons un haut mur, le contournons et arrivons devant une lourde porte métallique. Comme on me l’a appris, j’actionne la poignée tout en soulevant la porte. Un coup d’épaule. Rien ne bouge. Pourtant, il y a toujours ce léger jeu dans la serrure. Nouvelle tentative. Je soulève plus fortement la porte et donne un coup d’épaule plus viril. La porte cède d’un vingtaine de centimètres. Maryline doute :
    
    — Tu es sûr qu’on peut entrer par là ?
    
    — Oui, mais apparemment, il y a longtemps que personne n’y est plus venu.
    
    Je pousse la porte du pied et l’entrouvre suffisamment pour passer. Vu l’état de la porte, elle n’a pas été ouverte depuis des années. J’ouvre un peu plus pour que Maryline s’y glisse et referme. J’explique à Maryline que se dressait ici un château, il y a longtemps mais il a été détruit, sauf un bout de rempart vers lequel nous nous dirigeons. L’escalier de fer forgé en colimaçon est toujours là et je monte devant Maryline. Nous nous élevons à près de quinze mètres du sol et débouchons sur une petit esplanade d’environ dix mètres carrés. Il n’y subsiste qu’un ...
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