Un fil rouge pour Joëlle [Partie A] (4)
Datte: 27/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Badwell, Source: Xstory
... roulé par les deux mâles. La caresse sexuelle décuple l’excitation de la gâterie buccale. Elle devine qu’elle pourrait jouir de cette seule double pénétration. Mais elle veut se retenir, profiter de ces moments suaves où les mâles sont tout en érotisme. Outre les deux bouches, quatre mains s’aventurent sur ses seins, dans les poils de sa toison, sur ses fesses et le sillon, flattant au passage la corole de la petite porte. D’une main, elle branle le sexe de Franck, l’autre caresse la chevelure de Laurent, elle laisse s’écouler longuement ces moments embués. Tant de sensations s’additionnent, deux solistes font vibrer son corps au décuple.
Franck devine que Joëlle va partir, alors il embrasse doucement tout le visage de Joëlle, ses lèvres, ses yeux, ses pommettes, très tendrement, la redresse et guide sa bouche vers celle de Laurent qui se penche vers elle. Joëlle goûte avec ferveur les arômes, embrassant Laurent comme une étudiante passionnée.
– Déshabille-le, intime Franck
Elle embrasse longuement Laurent ; bouche-à-bouche de saveurs ; puis se relève du canapé, entraînant son amant avec elle, debout, face à face. Elle ouvre un à un les boutons de sa chemise, des poignets, gratifiant d’un bisou sur la peau chacune des étapes vers la nudité. Son torse de sportif peu poilu apparaît, la peau mate et soyeuse. La ceinture débouclée, elle poursuit le chapelet de bécots tout au long du membre altier masqué par un slip noir ; offre une prime de ses lèvres sur cette tache ...
... plus sombre et humide, la langue vient goûter la senteur juste au niveau du gland. Laurent lance sa chemise au sol, aux pieds de Franck qui se met nu tout en observant sa femme déloquer le coach.
La femelle accroupie fait descendre le jean ajusté sur les cuisses, les genoux, les mollets de Laurent et libère les chevilles habilement en escamotant les chaussettes. Esthétiquement, elle le veut nu, ses chaussettes ne seraient pas aussi sensuelles que le porte-jarretelle qu’elle compte, elle, conserver. Ses mains remontent le long des tibias, effleurent les cuisses, et atteignent le slip. Elle penche la tête pour mordiller la colonne dressée, moulée par le tissu de coton, parvient au gland, descend progressivement l’élastique pour le libérer, l’embouche, puis avale régulièrement la colonne au fur et à mesure qu’elle abaisse le caleçon.
Franck s’approche, debout à côté de Laurent dont Joëlle accroupie suce la queue ; elle alterne les chibres, passe de l’un à l’autre, mélange, non les calibres assez semblables, mais les textures, Laurent est plus ferme, plus minéral, Franck plus souple, végétal. Elle ferme les yeux : un gode de jade succède à une courgette tour à tour.
Les mâles s’échauffent… Elle sent leurs saccades s’accélérer, s’amplifier, s’accroître en profondeur, alors que les séquences raccourcissent, comme une mécanisation de sa bouche, elle devient « La Bête sexuelle », s’approprie les cadences de Chaplin dans « Les temps modernes ». Femme ouvragée, turbinée, mais ...