1. Mes histoires de salope (1)


    Datte: 26/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: bea la chaude, Source: Xstory

    La suite de ma vie sexuelle
    
    Je m’appelle Béatrice et j’ai maintenant près de 50 ans. Je vous ai raconté dans les épisodes précédents mes débuts dans la sexualité. Toutes ces histoires sont vraies.
    
    Ca a plutôt démarré sur les chapeaux de roues si je puis m’exprimer ainsi : partouze, double pénétration, trio, expérience lesbienne… Bref, pas mal de situations que j’ai su apprécier à chaque moment.
    
    Après mon épisode relatant mon expérience qui s’est terminée chez un mec qui nous (mon frère et moi) avait pris en autostop et laissés chez un paysan, ma vie a essuyé une petite période de calme. Déjà, il fallait que je laisse un peu de répit à ma petite chatte et mon cul qui en avaient bien besoin.
    
    Mais parfois le destin s’en mêle, les rencontres inattendues font que le fil de la vie vous ramène dans des chemins tortueux.
    
    A cette époque, j’ai environ une vingtaine d’années. Je suis toujours aussi bien foutue car mes seins et mon cul font toujours autant bander les mecs que je croise. Certains d’ailleurs n’hésitent pas à se caresser la queue à mon passage. Bien qu’ayant déménagé des 4000 à La Courneuve, j’habite maintenant dans un quartier « moins populaire ».
    
    J’habite encore dans une barre HLM car je n’ai pas beaucoup de moyens avec un boulot pas très gratifiant et pas très bien payé. Je suis d’ailleurs décidée à en changer, mais le simple fait de vouloir ne suffit pas. Il faut qu’il y ait quelqu’un en face qui veuille bien vous embaucher.
    
    Nous sommes en été ...
    ... et il n’y a pas beaucoup de monde en ville, en août probablement, mais je ne me rappelle pas vraiment. Je rentre du boulot. Il est 19 heures 30 - 19 heures 45. Il fait encore chaud. Il a d’ailleurs fait chaud toute la journée, et même les jours précédents. Cette chaleur est étouffante, mais en plus, elle a tendance à m’exciter. J’ai le feu au cul. J’ai beau ne pas mettre de sous-vêtements (à cet âge-là, je pouvais encore me le permettre) sous ma mini-jupe plutôt « ras la moule », rien n’y faisait. Les mecs que je croisais mataient, mais ne touchaient pas.
    
    Ce n’est pas faute de les provoquer : dans les transports, je m’asseyais face à un mec et j’écartais outrageusement les cuisses. Il voyait forcément ma chatte. J’en voyais certains bouillir… mais ils n’osaient pas aller plus loin.
    
    Pourtant, un soir il y avait plus de monde que d’habitude (il y avait quasiment trois quarts d’heure que le dernier métro était passé). Il y avait un monde fou sur le quai, mais dans la rame, c’est pire encore. Les gens de derrière poussent ceux de devant pour qu’un maximum de personnes puissent prendre place à l’intérieur des wagons. Vive Paris et ses transports !
    
    Et c’est ce qui est arrivé : je suis maintenant à l’intérieur mais impossible de bouger. Je suis coincé de tous les côtés. Si quelqu’un cherche à me peloter les fesses (et plus si affinités…) je ne pourrais même pas protester. Pour la forme, bien sûr !
    
    Et c’est ce qui arrive : je sens une main qui s’intéresse de près à mon ...
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