Les Vacances de Lise Dérapent 17 - Histoires de Sexe

Les Vacances de Lise Dérapent 17

Le lendemain, à huit heures, Jean la dépose devant une maison bourgeoise. Elle sonne un peu fébrile. Au bout de quelques instants, elle est surprise, car c'est une jeune fille qui lui ouvre la porte.

Elle est dans une tenue très sexy.

- Bienvenue. Ahmed le maître a demandé à ce qu'on vous présente directement à lui à votre arrivée, portez-lui ce plateau une fois nue. Aussitôt, elle se met nue.

La jeune femme lui tend un plateau et lui indique la chambre dans laquelle, elle doit le porter.

Lise se rend dans la chambre d'Ahmed. Quand elle rentre, il lui dit.

- Ah, ma nouvelle chienne! T'es vraiment une belle blanche, bonne à saillir toi. Tu me vouvoies et tu m'appelles Maître. Ici, tu devras être nue en permanence et tes orifices seront à ma disposition comme je le souhaiterai. Tout refus sera puni. Je vais te dresser moi ! - J'ai payé à Jean quatre mille euros pour ta location.

Lise blêmit en entendant ce qu'il paie pour qu'elle soit à sa disposition, c'est une somme. Pleins d'images et de pensées contradictoires se bousculent dans sa tête. Jean la loue ou la vend comme une vulgaire pute, alors qu'elle a fait tout ce qu'il lui a ordonné par amour.

Elle sursaute quand il la sort de ses pensées en clamant brutalement.

- Viens déposer ça sur la table, petite chienne.

Elle dépose le plateau sur la table juste devant lui.

- Quand je dit nue ! C'est nue complètement. Crie Ahmed en lui arrachant la perruque ? qu'il jette au sol.

Dans la position où ...

... elle se trouve, il a une vue imprenable sur sa croupe.

Il en profite pour écarter en grand ses fesses et regarder son petite trou de balle.

- Joli trou, ma chienne. Tu t'es encore faite sodomiser dernièrement?

- Euh ? Oui ! parfois.

Elle reçoit une grande claque sur les fesses.

- J'ai mal entendu ?

- Pardon Maître. Oui ! Maître.

Elle reçoit encore une autre claque plus violente. Elle serre les dents pour ne pas crier.

- Je t'ai demandé de répondre juste à mes questions. Bien après le déjeuner, je t'enculerais comme la chienne que tu es ?

Un frisson d'effrois parcourt le dos de Lise.

- En attendant, empale ta moule sur le gode ventouse qui est sur le tabouret pendant que je mange.

Le gode qu'il lui indique trône fièrement sur un tabouret.

Résignée, Lise mouille de salive le bout du gode et s'empale doucement sur le gode froid. Elle commence à faire des va-et-vient dessus.

Pendant ce temps, il mange, tout en la reluquant.

- Caresses-toi les seins en même temps, chienne !

Elle se met en se défonçant la chatte à malaxer ses seins, si sensible du traitement de la veille. Elle sent le plaisir monter très vite, elle a envie de jouir. Elle essaye de ne pas gémir. Hors, elle souffle très fort.

Il s'en rend compte et lui clame.

- Grosse pute, tu as envie jouir. Mais moi, je ne veux pas. Alors retiens-toi.

Lise ne pourra jamais se retenir. C'est impossible, il doit le savoir.

En pensant ça, elle voit à ses yeux, qu'il veut qu'elle ...