1. Jour de Paye des Dettes


    Datte: 27/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: sexperver, Source: Literotica

    ... plus jamais tu ne bandera, ni pour tes filles, ni pour ta femme qui sera très demandeuse désormais, son cerveau aura enregistré les décharge d'endorphine à chaque copulation, son retour à une femme prude et fidèle est impossible,
    
    il tira le coup de revolver,rendant Lucas impuissant à vie
    
    Il se tourna pour partir, Ashley gémissant après lui.
    
    "S'il te plaît, ne pars pas! Ne nous laisse pas comme ça! OOoohh... oh mon Dieu... AaaahhH!!!" La jeune chatte souple de la brune ne pouvait plus tenir le coup, et elle gémissait alors que son sexe mou se serrait de manière incontrôlable sur l'énorme vibration, le traitant comme s'il s'agissait d'une bite d'homme tandis que son jus éclaboussait le sol.
    
    Johan rassembla le sac pendant que ses hommes emballaient leurs autres affaires. Quelques instants plus tard, les hommes étaient de retour dehors, chargeant leur SUV noir comme nuit.
    
    Diego lui agrippa le bras juste au moment où il s'apprêtait à monter sur le siège du conducteur.
    
    "Tu es sûr que c'était une bonne idée, patron? Laisser vivre ces connards sexy et leur père?"
    
    Johan grogna. "Mon interprétation d'une personne n'est jamais fausse, Diego. N'as-tu pas vu la honte dans les yeux de Lucas? Dans chacun d'eux? Ces adorables filles ne parleront jamais, et surtout pas le pauvre Lucas. Non." Il s'avança, fermant la porte tandis que Gurrero chargeait tout le reste à l'arrière et que Diego s'installait sur le siège passager.
    
    "En plus, je veux que Lucas souffre. Cet idiot le mérite, après m'avoir arnaqué et gaspillé chaque centime. Il va devoir vivre avec ce qui s'est passé aujourd'hui, et CELA, mon ami, est le genre de justice que j'aime voir. "
    
    Le visage marqué de Johan s'éclaira d'un sourire narquois alors qu'il mettait le SUV en marche, appuyait sur l'accélérateur et s'éloignait à toute vitesse, vitres baissées pour laisser entrer la caresse saumâtre et chatouilleuse de la brise océanique.
    
    LA FIN
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