1. L'oiseau rare - Partie 2


    Datte: 27/12/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CDuvert, Source: Hds

    ... questionna-t-il en caressant une chaîne aux maillons épais.
    
    "Certaine. Je veux découvrir une part de moi que je n'ai jamais explorée."
    
    Marc se dirigea vers un coffre de bois d'où il sortit diverses pièces forgées : menottes articulées, chaînes de différentes longueurs, anneaux de métal poli. Chaque pièce témoignait de son savoir-faire et de sa compréhension intime des contraintes.
    
    "Déshabille-toi", ordonna-t-il d'une voix qui avait pris une autorité nouvelle.
    
    Camille obéit sans hésiter, sa robe de lin glissant sur ses courbes généreuses. Dans la lueur rougeoyante de la forge, son corps nu révélait une beauté sauvage que ne rehaussait aucun artifice. Ses seins hauts et fermes se dressaient fièrement, ses hanches pleines ondulaient naturellement.
    
    Marc l'observait avec cette attention particulière qu'il portait aux matières qu'il s'apprêtait à façonner. Ses yeux détaillaient chaque courbe, évaluant les possibilités qu'offrait ce corps offert à ses caprices.
    
    "Les Mains", commanda-t-il en s'approchant avec les menottes.
    
    Le contact froid du métal sur ses poignets fit frissonner Camille. Marc ajusta les liens avec précision, assez serrés pour l'immobiliser sans entraver la circulation. Cette contrainte volontaire éveillait en elle des sensations inédites.
    
    "Parfait", murmura Marc en contemplant son œuvre. "Maintenant, tu m'appartiens."
    
    Il l'amena près d'une poutre verticale où pendaient des chaînes destinées à suspendre les pièces lourdes. Avec des gestes ...
    ... précis, il attacha une chaîne à ses menottes, l'obligeant à lever les bras au-dessus de sa tête dans une posture d'offrande totale.
    
    Camille était maintenant complètement vulnérable dans cette forge primitive, les seins tendus par sa position contrainte, dressée sur la pointe des pieds, son corps exposé aux caprices de l’homme qui la dominait de sa stature imposante. Les chaînes qui entravaient ses poignets au-dessus de sa tête révélaient chacune de ses courbes, la livrant sans défense aux désirs de Marc.
    
    "Magnifique", apprécia Marc en tournant lentement autour d'elle comme un sculpteur évaluant son modèle vivant.
    
    Son regard sombre détaillait chaque centimètre de peau offerte avec l’attention particulière qu'il portait aux matières qu'il s'apprêtait à façonner. Dans la lueur rougeoyante du brasier, le corps de Camille prenait des reflets cuivrés qui accentuaient encore sa beauté sauvage.
    
    Ses mains calleuses effleurèrent d'abord sa peau avec une délicatesse surprenante, traçant le contour de ses seins dressés, suivant la courbe de sa taille naturellement cambrée. Ces caresses aériennes, contrastant avec sa force évidente, décuplaient l'excitation de Camille qui frissonnait sous ces attouchements.
    
    "Tu ressens chaque effleurement, n'est-ce pas ?" murmura Marc en voyant sa peau se hérisser sous ses doigts. "Cette position te rend hypersensible."
    
    Il avait raison. Cette contrainte volontaire amplifiait toutes ses sensations, transformant le moindre contact en onde ...
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