J’ai bien fait – Blandine - Histoires de Sexe

J’ai bien fait – Blandine

... avons pu faire ensuite. J’ai néanmoins le sentiment d’avoir fait beaucoup plus en une seule journée avec Blandine que la plupart de mes copains en un an avec leur(s) petite(s) amie(s). Peut-être suis-je présomptueux…

Avant de partir, nous nous offrons un splendide soixante-neuf, face à la mer qui scintille un peu. Quel délice de savourer sa cyprine tandis qu’elle déguste mon sperme ! Le tout dans mille tremblements et petits cris de jouissance !

Après un petit repos bien mérité, nous en profitons pour nous baigner une dernière fois, afin d’effacer les éventuelles traces suspectes. Agenouillés dans l’eau, nous échangeons à nouveau un long baiser vorace.

Dans nos lèvres se décollent, Blandine me regarde droit dans les yeux :

— J’adore qu’on m’embrasse comme ça ! On sent que ça te plaît à toi aussi…
— Embrasser une fille comme toi, c’est… c’est…
— Tu perds tes mots ?
— On dirait bien que oui.

Nous revenons vers la plage. Accrochée à mon bras, Blandine me demande :

— Je peux te confier un truc que tu ne répéteras à personne, pas même à ta cousine ou à Donia ?
— Je t’écoute.
— Tu n’es pas le premier garçon avec qui je flirte, mais les autres étaient tellement nuls que j’ai cru que j’étais gouine ! Maintenant, je sais que je ne le suis pas à cent pour cent.

Il y a des paroles qui font vraiment plaisir à entendre :

— Merci du compliment, Blandine…
— Tu peux être fier de toi, Alex, mais n’en abuse pas. Non seulement je suis sortie avec des garçons ...

... nuls, mais aussi avec des hommes nuls, dont certains pouvaient être mon père. Ça t’étonne ? Oui, j’ai franchement cru que j’étais définitivement gouine.

Il est vrai que Blandine ne fait pas son âge avec ses formes pleines et avenantes. Je comprends qu’elle puisse leurrer un homme mature. Quoique certains aiment la chair très fraîche…

— Et à présent, tu en déduis quoi ?
— Bah, je dois être bi !

Elle se met à rire, je l’accompagne. Peu après, je lui demande :

— Si tous les garçons et les hommes te semblaient nuls, pourquoi avoir pris des initiatives avec moi quand nous nous sommes tous retrouvés en face à face ?
— Ta façon de te comporter m’a rappelé celle de ta cousine. Je me suis dit que c’était de bon augure.
— Et si je t’avais déçue ?
— Bah, tu aurais rejoint le grand club des nuls !
— Tu parles d’un club ! En tout cas, sois sans crainte, je n’ai rien entendu, tu ne m’as rien dit.

Elle me regarde d’un air étrange :

— J’espère que tu ne me prends pas pour une salope ou une pute ?

Je m’en sors par une pirouette :

— Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage.
— Vingt fois ? Ça va, j’ai encore de la marge !

Nous nous asseyons, je demande à ma voisine :

— Je peux te demander un truc indiscret ?
— Demande toujours, petit pervers, mais tu n’auras peut-être pas de réponse.
— Il y a une grosse différence entre un garçon et un homme mature ? Je parle dans la façon de se comporter lors des… euh… cochonneries, comme dirait Donia.

Elle ne ...