Initiation brutale (7)
Datte: 26/09/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: Eric989, Source: Xstory
Dès le lendemain, l’attitude de Jean envers moi a changé.
Il est plus protecteur, mais aussi plus directif.
On nous a demandé d’aller nettoyer un abri à bûcherons dans la forêt proche et on s’y met tous les deux.
Il fait chaud et il y a une table, un banc et une paillasse, c’est assez succinct et surtout très isolé.
Jean m’appelle :
— Allez, approche et fous-toi à poil, j’ai envie de te voir nue, salope.
Je m’exécute et suis debout devant lui, un peu gauche.
Il sort sa grosse queue déjà bien tendue et je comprends, me mets à genoux et ouvre la bouche.
Il approche, me prend assez brutalement la nuque et enfile sa grosse queue dans ma bouche accueillante.
Il commence ses va-et-vient et me baise littéralement la bouche.
La nuque bloquée, je ne peux qu’essayer de respirer tandis qu’il me remplit et ses coups de reins envoient son gros gland jusqu’au fond de ma gorge.
Je suis son jouet, sa pute docile et il l’a vite compris et prend goût à avoir une vide couille à disposition.
Il y va fort et pour rester en équilibre, je m’agrippe à ses cuisses puissamment musclées, il se déchaîne et dans un grand cri, m’envoie des jets de sperme que je peine à avaler tellement ils sont abondants et j’en suis presque étouffé.
Repu, il me repousse et le travail fini, on rentre comme si de rien n’était.
L’oncle nous dit que cet après-midi on va aller aider à la ferme voisine.
Celle-ci est tenue par deux frères, de vieux garçons d’environ 45 ans, des ...
... costauds et leur mère, une maîtresse femme massive et autoritaire qui m’a toujours un peu impressionnée.
On travaille d’arrache-pied et en fin de journée, je vois Jean discuter avec les frères et la mère qui s’en mêlent, je ne sais pas de quoi ils parlent, mais ils se taisent quand j’approche.
On a mérité un bon dîner et il se déroule tranquillement, mais je ne me méfie pas et l’alcool coule à flots, je suis vite un peu pompette et rigole à leurs blagues salaces.
Jean, assis à côté de moi, pose sa main sur ma cuisse, enivrée, je ne réagis pas, pourtant il remonte vite sur ma braguette et ne le fait pas discrètement, les trois autres regardent en rigolant.
— Alors petit, t’es pas farouche, nous a dit Jean et tu aimes la queue.
Je baisse la tête, mais Jean serre douloureusement ma queue.
— Réponds à Mélanie salope.
J’ai honte, mais l’alcool annihile un peu ma honte.
— Oui Madame, j’aime les sexes des hommes quand ils s’occupent de moi.
Elle ricane:
— Mais c’est bien ça d’avoir chez soi une petite pute docile, et ici il y a trois grosses queues qui vont s’occuper de toi petite salope.
Je comprends que je suis coincée et que Jean a tout manigancé.
Mélanie me dit:
— Allez salope, va dans cette chambre et déshabille-toi, sois sage et obéissante.
Domptée et assez inquiète, je me lève et va dans la chambre.
Pièce assez sombre avec un grand lit haut.
Je me déshabille et m’allonge, pas tranquille.
La porte s’ouvre et entre un des deux ...