1. Brigitte et Les Migrants


    Datte: 21/12/2025, Catégories: Groupe de Sexe, Auteur: cocuavie, Source: Literotica

    Nous nous sommes mariés il y a bientôt 40 ans, et à cette époque j'étais déjà cocu depuis 3 ans, c'est-à-dire depuis que j'ai rencontré celle qui allait devenir mon épouse chérie. Quelques jours après notre rencontre, elle m'a raconté comment elle avait été dépucelée : un quasi-viol, à même la terre, dans un bois envahi d'ordures. Peu de temps après, je connaissais tous les mecs qui l'avaient saillie, saillie étant l'expression qui convient car elle se faisait monter comme une jument, de préférence par des étalons de toute couleur et toute nationalité.
    
    C'est d'ailleurs ce qui m'avait séduit chez elle, et j'adorais, j'adore toujours, assister aux "séances" que nous organisons depuis toujours. Je suis toujours excité de la voir sous plusieurs hommes en même temps, et si je ne participe pas directement je suis à quelques centimètres de l'orgie. Elle me regarde sans rien dire, pendant que deux ou trois mâles gorgés de testostérone la besognent sans aucun ménagement. Je lis dans le regard de ma tendre moitié le plaisir qu'elle éprouve à être prise comme une chèvre et à être copieusement insultée, traitée de ce qu'elle est.
    
    Depuis quelques années, l'augmentation de la communication sur la crise des migrants a eu sur notre couple un effet que certains qualifieraient de dévastateur, mais que ma chérie est moi prenons comme un don du ciel. Il y a longtemps de cela, alors que nous étions mariés depuis une dizaine d'années, je décidai un jour de l'emmener visiter un camp de ...
    ... migrants à quelques kilomètres de chez nous. À cette époque, c'étaient essentiellement des hommes d'un âge bien mûr qui arrivaient des pays de l'ex-bloc communiste, de la Yougoslavie à l'Ukraine en passant par la Tchécoslovaquie, la Bulgarie, le Belarus, la Biélorussie etc. La plupart étaient de solides et rudes bûcherons, pour qui les femmes n'étaient qu'un lot de trous dans lesquels ils se purgeaient les testicules lorsque la pression à l'intérieur était trop forte.
    
    La première fois, je l'ai laissée tout l'après-midi dans une cabane de chantier squattée, dans laquelle se trouvait pour tout mobilier un matelas qui avait dû faire tous les foyers et squats de la banlieue nord de Paris depuis des décennies. Mon épouse a toujours eu horreur des préservatifs, et je dois dire que cette première fois m'a paru très longue. Pas pour elle, en revanche, puisque quand je l'ai récupérée, vers 19 heures, une dizaine de messieurs faisaient encore la queue, et d'après ce qu'elle m'a dit en rentrant, une bonne trentaine était venue se soulager dans ses divers orifices. Elle était encore souriante, malgré le sperme séché qui la recouvrait intégralement, de la pointe des cheveux aux ongles des orteils. La première chose qu'elle m'a dite dans la voiture, c'est "Quand me ramènes-tu ici?"
    
    Le week-end suivant, nous avons fait presque 200 kilomètres pour aller sur une ZAD où une centaine de zonards et de SDF montait la garde autour d'un dépôt d'ordures que la préfecture voulait évacuer pour ...
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