Gina 1986 - Histoires de Sexe

Gina 1986

... pourquoi.

L'alcool m'ayant un peu désinhibé, le sujet me gêne moins. Nos regards se croisent.

- Mais je suis certain que tu vas m'expliquer.

- Hier soir, quand je me suis couché, je vous ai entendu dans votre chambre. Je dois admettre que vous aviez l'air de bien vous éclater.

- Oh... pardon si on t'as dérangé, je suis désolé, on sera plus discret les prochaines fois.

- Ne changez rien, je me suis fait plaisir également.

- Tu veux dire quoi?

- Tu veux un dessin? ça fait un an que je n'ai pas eu de relation alors tu penses bien que j'en ai profité. Je ne sais pas ce que tu lui as fait mais j'aurais bien voulu être à sa place. Moi aussi j'ai pris mon pied.

Je suis abasourdi par ce que je viens d'entendre.

- Ah ben, on peut dire que plus directe que toi, on peut pas faire

- Ça te gène que je t'en parle?

- Pas vraiment mais je ne sais pas où tu veux en venir.

- Ne fait pas l'hypocrite s'il te plait, ça ne te va pas, je te l'avoue, je suis en manque de sexe, je pense que je ne te laisse pas indifférent, je me trompe?

- Tu sais très bien que non, je te l'ai dit en arrivant que tu m'avais troublé. Je suis juste étonné qu'une femme comme toi...

- S'intéresse à un gars comme toi ou ne doit pas avoir de mal à trouver un mec pour la baiser? Elle m'a interrompu, au bord des larmes.

- Les 2 Gina.

- Je suis désolé Michel, comme je te l'ai dit, les derniers mois ont été très compliqués et je crois que ta gentillesse et ta sincérité m'ont ...

... fait perdre un peu les pédales. Oublie ce que je viens de te dire.

Je pose mon verre de vin sur la tablette du salon et je viens me mettre à genoux devant elle. Deux petites larmes perlent aux coins des yeux. Elle décroise les jambes et se penche pour m'embrasser langoureusement. Mes mains sont déjà en train de remonter sur ses cuisses, pas de porte jarretelles mais des collants stay-up. Gina se rejette en arrière pour savourer les caresses et ses jambes s'écartent. Elle relève son bassin pour que je remonte la jupe découvrant une petite culotte de dentelle très ajourée qui laisse deviner une toison courte très entretenue. Ma langue se promène sur le tissus mais, impatient, je fais glisser le slip sur les jambes. Je hume le parfum de sa chatte et à petits coups de langue j'entreprends de découvrir son clitoris que je suce avidement provoquant des gémissements de plus en plus fréquents et sonores. Je laisse un doigt se balader entre vagin et petit trou, le vagin obtient un assentiment.

- Oui, c'est booon, ça fait tellement longtemps, ça m'a tellement manqué, lèche moi encore.

Un deuxième doigt vient masturber le vagin trempé, je mouille le sexe de salive pour rendre le cuni encore plus doux. Je sens que je n'arriverais pas à la faire jouir de cette manière. Je me relève, une bosse énorme se dessine sur mon jean.

- Viens, me dit-elle en me prenant par la main. Elle m'entraine dans la chambre et se déshabille fébrilement me dévoilant un corps splendide, des fesses bien ...