Gina 1986 - Histoires de Sexe

Gina 1986

... matin nous trouve dans la même position uniquement séparé par une érection matinale monumentale que ma partenaire apaise rapidement par une fellation dont elle a le secret.

Louisette me quitte à midi pour aller bosser. Sa fille est chez elle ce weekend, elle me donne donc rendez-vous dimanche soir. Je l'accompagne à sa voiture et en revenant je regarde ma boite aux lettres. J'y trouve un petit mot rédigé avec une très belle écriture.

« Bonjour Michel, en remerciement de ton aide et de votre accueil d'hier, je souhaitais vous inviter toi et Louisette à diner ce soir dans mon nouveau chez moi. Je te donne mon numéro au boulot. Peu importe ta réponse, appelle moi ça me fera plaisir de parler avec toi. Je t'embrasse. Ta nouvelle voisine. Gina »

Vu l'heure, je prends le temps de manger et à 14 heure je l'appelle pour lui confirmer que j'accepte son invitation. Je lui explique que je serai seul ce qui n'a pas l'air de lui déplaire. Rendez-vous est donc pris pour 20 heure chez elle.

Je rentre vers 19 heure après un footing de 15 bornes avec les potes pompiers, le temps de prendre une douche, regarder le top 50 sur canal+. Je passe rapidement acheter une bouteille de champagne à la petite supérette du coin et je monte à l'étage.

Je sonne à la porte qui s'ouvre rapidement.

- Oups, excusez-moi madame, j'ai dû me tromper d'étage.

Elle éclate de rire.

- Tu es content de ta blague? me dit Gina en me mettant la main sur l'épaule pour me faire la bise.

Son parfum ...

... me parvient discret mais captivant.

La femme qui est devant moi n'est pas du tout la même que celle que j'ai aidé hier.

Un maquillage discret illumine son visage sur lequel la petite fossette fait merveille. Sa magnifique chevelure brune est coiffée avec recherche. Un petit haut coloré souligne ses formes et une jupe serrée très courte moule des fesses qui ne me laissent pas insensible tout comme les collants noirs qui gainent ses jambes musclées. Je me mets à rêver de bas et de porte jarretelle. L'ensemble est perché sur des talons pas très hauts mais suffisants pour accentuer la cambrure de ses reins. Je suis conquis.

- Hou hou, y'a quelqu'un me fait Gina.

Elle me passe la main devant les yeux avec un sourire moqueur.

- Oui, c'est-à-dire que...je ne m'attendais pas à ça.

- De quoi tu parles?

- De toi, c'est un diner mondain?

- Non, je rentre du boulot. Pourquoi?

- Ben, tu es sublime, je suis désolé mais je suis troublé, excuse-moi.

- Alors, hier tu m'aides et c'est toi m'invite et aujourd'hui tu me fais le plus beau compliment qu'on puisse faire à une femme et tu t'excuses. Aller, entre au lieu de dire des bêtises.

Je vais pour avancer quand, se mettant sur la pointe des pieds, elle me chuchote à l'oreille avec un air un peu triste

- Merci pour le sublime, ça fait très longtemps que je n'ai pas reçu un compliment aussi spontané que sincère.

Elle me gratifie d'un baisé sur la joue.

Gêné, je ne sais que répondre. Ma timidité maladive ...