1. Moi, j'adore ça !


    Datte: 18/12/2025, Catégories: #érotisme, #confession, Auteur: Bullitt, Source: Revebebe

    ... gardes en toi jusqu’à ce soir. L’idée de te savoir pleine de moi toute l’après-midi va me faire bander comme un fou !
    
    J’avais trouvé l’homme qui me comprenait.
    
    Un matin, mon mari a voulu me faire l’amour et je n’ai pas su lui refuser. Toute la matinée, je l’ai senti couler doucement dans mon tanga. Je suis naturellement arrivée trempée chez mon partenaire. Je lui ai avoué que j’avais fait l’amour le matin même en pensant à lui et que cela m’avait excitée de me sentir mouillée en sachant que j’allais le retrouver. Il a relevé ma jupe, glissé sa main entre mes jambes, enfoncé mon tanga trempé dans ma chatte avec deux doigts, puis les a présentés à mes lèvres :
    
    — Goûte !
    
    Je les ai sucés comme si ma vie en dépendait.
    
    — Fais-moi goûter.
    
    Et il m’a embrassée passionnément.
    
    Ce jour-là, il m’a fait l’amour avec une intensité que j’avais rarement connue, me léchant, me caressant, me pénétrant longuement avant de jouir violemment tandis que je lui faisais humer l’entrejambe de ma culotte, culotte que je me suis empressée de remettre avant de repartir travailler avec une seule crainte, qu’une auréole orne ma jupe quand je me lèverai de ma chaise en fin de journée…
    
    Un jour, ou plutôt un soir avait lieu un repas pour fêter je ne sais plus quel événement de la société, repas où les conjoints étaient conviés qui devait se terminer dans une boîte de nuit privatisée pour l’occasion. Sous mon tailleur strict, il me suggéra de ne pas porter d’autres sous-vêtements ...
    ... qu’une paire de bas et un chemisier plutôt transparent. Le dîner avait été arrosé et la soirée en boîte s’annonçait plutôt animée, certains et certaines semblant décidés à profiter de l’occasion. Mon partenaire, qui ne manquait pas une occasion de caresser mes fesses à travers le tissu tendu, remarqua rapidement quelques participants que je ne semblais pas laisser indifférents.
    
    — Si tu veux en profiter, n’hésite pas, me dit-il, je ferai semblant de ne rien voir…
    
    Une série de slows fut l’occasion d’un rapprochement avec un admirateur. Tandis que je l’allumais copieusement en frottant mon pubis contre une braguette qui semblait prometteuse, et après un clin d’œil complice de mon partenaire, je fis en sorte que notre danse nous dirige vers un coin sombre et tranquille de la discothèque. Je le poussai dans un fauteuil et remontai ma jupe pour m’asseoir à califourchon sur ses genoux. Je commençai à l’embrasser tandis que ses mains se dirigeaient vers mes fesses. Quand il comprit que j’étais nue sous ma jupe, il devint littéralement fou. J’ouvris son pantalon, sortis son sexe de son caleçon et m’empalai dessus dans un long gémissement couvert par la musique. Notre étreinte fut brève, mais intense et il s’épancha longuement en moi. Je me relevai, rabaissai ma jupe et partis rejoindre mon partenaire. Je lui glissai à l’oreille que j’avais fait une première victime qui avait généreusement inondé ma petite chatte. Son œil se mit à briller et il me dit :
    
    — Vu comme tu as l’air ...
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