L'enfer de Naira Ch. 10 - Histoires de Sexe

L'enfer de Naira Ch. 10

... la peine de me remercier, je ne le fais pas pour toi. Je ne veux pas d'enfants avec une putain ou une de mes employées.

Naira n'a pas le temps de lui répondre que l'ordre suivant arrive :

- Allez, à quatre pattes que je te baise en levrette !

Sa voix autoritaire, profonde, méchante, ne lui laisse aucun autre choix que d'obéir rapidement. Cette fois, quand les mains de l'homme attrapent ses hanches, qu'il se met à la défoncer, Naira ne peut s'empêcher de crier sa douleur. De le supplier de la laisser, de lui dire qu'il lui fait mal. Mais il s'en moque, elle le comprend quand la seule réponse qu'elle a est juste un rire pervers.

Sa prière n'a vraiment pas été entendue. Il l'a baisée toute la nuit, reprenant une pilule sexe-dure au milieu, pour repartir à l'assaut comme si c'était la première fois. Elle a hurlé à la mort les trois fois où il l'a enculée sans douceur. Il a joui dans son sexe, dans ses entrailles, dans sa bouche et sa gorge. Mais aussi sur son corps, sur son visage, sur ses cheveux. Deux fois, la faisant aller dans la cabine de douche, il lui a uriné dessus. Pour son plaisir, ses pleures et ses vomissements le faisant rire. Chaque fois, après, il la fit se laver, tout en l'obligeant à se masturber.

Après une nuit horrible de sexe, la chatte et le trou-du-cul en feu, l'âme déchirée, ils ont pris une douche à deux. Il l'a de nouveau baisée et enculée, debout, appuyée contre la vitre de la cabine. Ce n'est qu'ensuite qu'il l'a autorisé à se ...

... rhabiller. Mais sans qu'elle puisse remettre de culotte. Il la garde pour lui, pour sa collection. En entendant le mot « collection », Naira se demande combien de filles il a dépucelé ainsi, combien il en a violées... achetées pour un poste...

- On va dans mon bureau.

Naira le suit comme un brave toutou, ce qu'elle est devenue après tout, sa chienne, sa salope, sa putain qui se vend pour un poste et un salaire plus que confortable. Naira se jure que dès que son poste le permettra, elle fera vivre la même chose à la première fille à café, la première chienne en rose, qu'elle croisera. Juste pour savoir ce que cela fait d'être la tourmenteuse et non la tourmentée.

Naira se sent mal quand elle revient dans la pièce où la veille, son patron la dépucelait de force. En l'obligeant à se vendre, dans ce qui est presque un viol.

- Assis toi sur le bureau, écarte les jambes !

- S'il-vous-plait...

- S'il-vous-plait, quoi ?

- Vous... vous ne m'avez pas... suffisamment eus ? ? ?

- Non.

-Alors Naira obéit, elle s'assoit sur le bureau, cuisses écartées.

- J'enlève ma robe ?

- Garde-la. Comme hier soir quand tu t'es vendu à moi.

Vendu à lui, il vient de mettre les mots sur ce qu'elle a fait... Se vendre à lui...

Assise sur le bureau, robe relevée, chatte apparente, Naira ne dit rien, regardant un point fixe sur le mur, derrière l'épaule de Pablo Nino. Elle le voit quand même sortir son sexe, s'approcher, l'empaler. Sa chatte baisée toute la nuit, ses chairs ...