L'enfer de Naira Ch. 10 - Histoires de Sexe

L'enfer de Naira Ch. 10

... assistante, faisant comme si elle n'existe pas. Ou plutôt comme si elle n'existe que pour servir sa bite. Au lieu de cela, il regarde Naira droit dans les yeux :

- Voilà ce que t'apporte le pouvoir. Prendre du plaisir avec des sous-fifres, des moins que rien. Tu viens de vivre avec Maryse exactement ce que j'ai vécu avec toi. Plus tu es haut, plus tu peux prendre du plaisir avec qui tu veux. Avec tous ceux qui sont plus bas que toi.

Même si tout ce que lui a fait subir Pablo Nino est dur à vivre, presque comme un viol, d'ailleurs, c'est un viol, Naira sait à ce moment-là, en descendant sa robe sur ses jambes magnifiques, qu'elle aussi, quand elle sera chef de service, profitera au maximum des filles à café, de son personnel en rose. Et peut-être que, comme Pablo Nino, elle aura sa pute personnelle qui fera partie des employées de l'entreprise. À aucun moment, la belle stagiaire ne se demande combien d'employées vivent la même chose que Maryse, peu ou prou.

- Maryse, Je vais me coucher, ma nuit a été très sexuelle avec une belle salope, chaude comme un volcan qui m'a vidée de toute mon énergie. Tu l'envoies se changer et se laver, donne lui une heure pour ça. Puis tu l'emmènes à l'infirmerie, qu'on examine sa chatte et son cul. Je pense que j'ai dû faire quelques dégâts...

Pour en avoir fait, il en a fait. Naira sent ses orifices lui faire mal, elle espère simplement qu'il n'a pas trop réveillé les blessures anales, vieilles de cinq ans faites par le viol de ...

... Franck.

- Ensuite, tu l'emmènes à la compta pour son contrat. Pour finir, vous allez voir Lucia, c'est elle qui va la prendre en main.

Puis il regarde Naira, qui baisse aussitôt son regard.

- Quand tu seras cheffe de service, j'espère que tu soutiendra le regard des gens, tous les gens, même le mien.

- Oui monsieur.

- Tu as été une putain délicieuse. Je pense que j'ai fait le bon choix : tu réussiras parfaitement dans les relations avec la clientèle, tu as tout ce qu'il faut pour.

Son orgasme passé, Naira sent tous ses tourments de la nuit remonter à son cerveau. C'est enfin la fin. Elle ose enfin lever les yeux vers son tourmenteur. Tout ce qu'il lui a fait vivre... mon dieu... comme c'est horrible... même le plaisir qu'elle a eu avec la langue agile de Maryse semble comme une aumône de la part de l'homme, comme une ultime humiliation lui disant : Je peux te prendre par où je veux, je peux avoir chaque parcelle de ton corps, de ton âme. Je peux te faire pleurer, crier, hurler, supplier, mais je peux aussi te faire jouir comme rarement.

C'est à travers des yeux tachés de larmes qu'elle regarde son patron, sentant la misère gravée dans les pores de son visage, ne ressentant rien, juste le vide, l'insignifiance, le dégoût de soi. Pas la fierté d'un nouveau travail, pas le million d'euros de prime, pas l'opportunité de sa future carrière. Mais plutôt de n'être qu'un dérisoire jouet de viol, un morceau de viande à bites, des trous à remplir... le tout à la ...