Jeux de train, jeux de vilains
Datte: 26/09/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
train,
toilettes,
pénétratio,
hdanus,
coupfoudr,
Auteur: Seno, Source: Revebebe
... cuisses, comme si ce monsieur allait deviner qu’elle était déjà en train de sentir cette chaleur envahir son minou, cette humidité se répandre dans sa chatte et venir suinter jusqu’à ses lèvres.
D’une manière un peu gauche, parce que déstabilisée, elle lui sourit et le remercie. Elle ne sait quoi lui dire, elle est tellement troublée… Il y a très longtemps qu’un homme ne l’avait pas mise dans un tel état. Que lui arrive-t-il ? Elle a une envie folle de se jeter sur cet homme, de l’embrasser, de le câliner, de le caresser, de passer une main sous sa chemise, et de glisser l’autre dans son pantalon, de se perdre dans ses yeux pendant que lui prendrait ses seins entre ses mains et les cajolerait avec douceur et fermeté à la fois…
L’esprit d’Émeline divague à un point tel qu’elle avait oublié que cela pouvait être possible. Ressent-il cet émoi ? Remarque-t-il son trouble ? Elle n’ose jeter un œil à son entrejambe même si l’envie est bien là.
Afin de se remettre de ses émotions, elle décide de se rendre aux toilettes, asperger son visage d’eau tiède afin de reprendre ses esprits.
Elle se lève, quitte provisoirement ce bel homme qui, dans son esprit, est devenu entre-temps un fantasme. Quelqu’un la suit. Tant pis. Elle prendra le temps qu’il faudra pour reprendre pied, pour se calmer. Cette personne n’aura qu’à attendre ou aller dans une autre voiture.
Les toilettes sont occupées. Elle doit, elle aussi, attendre son tour. Appuyée contre la paroi, elle sent alors une ...
... main se déposer délicatement sur son épaule. Elle se retourne et le bel inconnu est là, derrière elle, c’est lui qui l’a suivie. Elle, qui croyait pouvoir se calmer, sent alors une poussée d’adrénaline lui parcourir le corps et ne peut s’empêcher de frissonner. Son cœur s’emballe, ses mains deviennent moites, l’excitation est à son comble. Elle ne sait comment réagir.
Les toilettes se libèrent enfin. Elle veut y entrer et l’homme, de sa voix grave, lui emboîte le pas. Elle ne ferme pas la porte… il entre…
Loin de se calmer, elle en devient sauvage mais essaie de ne pas le montrer. Il s’approche, ses lèvres sont à quelques centimètres des siennes, il se penche et l’embrasse à pleine bouche, avec délicatesse, avec douceur. Sa langue cherche celle d’Émeline qui, passé le premier moment de surprise, répond à son baiser d’une manière tout aussi passionnée. Ses mains cherchent son torse, alors que celles de l’inconnu sont déjà dans son dos, la caressant, la massant presque tellement ses caresses se font pressantes.
Émeline n’en peut plus, elle déboutonne sa chemise, glisse une main sur sa toison dense qui le rend encore plus masculin. Il glisse ses mains sur ses seins, il sent les tétons durs à travers le tissu, cherche à enlever ce chemisier bien encombrant et quand il y parvient, il découvre le splendide spectacle de la poitrine d’Émeline, enserrée dans un soutien rouge en dentelle. Poitrine encore plus généreuse que ne l’avait laissé supposer le décolleté qu’elle avait ...