Du Cinéma Porno - Histoires de Sexe

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... se met à me les mordiller assez fortement, pour me tirer des gémissements de plaisir teintés de douleur. Il quitte son pantalon et enjambe ma tête, je sens ses couilles noires me caresser la figure.

— Lèche-les, m'ordonna-t-il.

Je m'exécute, donnant de petits coups de langue sur chaque boule, puis je les aspire l'une après l'autre dans ma bouche, il grogne de plaisir. Puis il met son phallus noir dans ma bouche. Il n'est pas gros et je l'avale de suite entièrement. Il commence des va-et-vient, en me demandant parfois de lui mordiller le gland. Au bout de cinq minutes, sa verge a des contractions. Il l'enfile dans ma gorge jusqu'à sa toison bouclée et éjacule à grand trait dans ma bouche :

— Avale Salope, avale le sperme du nain... Aaaaaaahhhhh, Aaaaahhh c'est bon. Tu aimes les nains noirs, on dirait. Lèche bien ma bite, aspire bien tout mon sperme.

Une fois sa queue bien nettoyée, il s'éloigne fouilla sur les étagères et revient avec en main un énorme et très long phallus violet.

— Regarde ce que j'ai trouvé dans un casier. J'ai joui, je vais te rendre la monnaie de la pièce me dit-il en souriant, je vais te faire connaître le summum du plaisir.

Il me montre l'imposant engin, il est d'un diamètre énorme et orné de protubérances et de toutes petites cornes. Je vois qu'elles sont flexibles lorsqu' avec un rictus pervers, il en caresse la longueur. Il enfile le godemiché sur son sexe et l'attache fermement autour de sa taille. D'un geste brusque, il arrache le ...

... string qui est saturé de mon foutre. A genoux devant moi, il guide le phallus diabolique vers le bas de ma fente, puis lentement le remonte jusqu'à l'orifice vaginal qu'il pénètre légèrement. Il recommence l'opération, plusieurs fois, chaque fois que le gland de l'engin arrive à l'entrée de mon méat, je donne un coup de reins en avant pour essayer de le faire pénétrer plus avant, mais il le retire en souriant. Je gémis plusieurs fois de frustration. Puis il me pénètre doucement, je crie de délice et de souffrance, la grosseur de l'engin et les cornes me griffent les parois vaginales. L'extase et la douleur se mélangent délicieusement. Je suis une victime offerte aux ravages de cette protubérance monstrueuse. Je repense aux futurs spectateurs et écarte les cuisses en poussant des cris de satisfaction.

— Ah, tu aimes? Tu es vraiment une salope!

Il enfonce d'un violent coup de reins l'objet au fond de mon vagin. Je hurle en me cambrant, cela me fait délicieusement mal. Chaque allée et venue ouvrent davantage le tréfonds de mes entrailles. Lorsqu'il a tout enfilé, ses poils crépus et rêches sont autant de caresses sur mon bas-ventre.

— Aaaaahhh, oui, oui,encore, encore, n'arrête pas, hurlai-je.

J'ai honte que ce nabot puisse m'exciter autant, je me demande ce que Maxime peut penser de moi. Mais je ne peux pas m'empêcher de tomber dans la luxure, je ne suis plus qu'un vagin qu'il faut remplir. Les va-et-vient du monstrueux phallus s'accélèrent, mes râles se mêlent aux ...