Du Cinéma Porno - Histoires de Sexe

Du Cinéma Porno

... mes tétons durcis qui pointent fièrement hors des bonnets. Il fait descendre les bretelles sur mes poignets libérant mes seins de leur écrin de dentelles, les déchire elles aussi, mon soutien gorge tombe au sol. Me faisant tourner, il glisse ses mains sous ma jupe et lentement découvre mes fesses. En mauvais français, il me dit qu'il adore les sous vêtements des européennes. Tout en caressant mes fesses il commence à baisser mon string, puis d'un seul coup, il le déchire lui aussi. Je commence à être extrêmement excitée par ce petit jeu. Des gouttes de foutre perlent à l'entrée de mon vagin. Il me quitte lentement la jupe, ne me laissant que mes bas, mon porte-jarretelles et mes talons aiguilles. Une boule d'excitation mêlée à de l'appréhension me tort le ventre, ce ne n'est pas désagréable.

Il se met alors face à moi, et commence à ôter la bande de tissu qui lui sert de culotte. J'ai entendu dire que ce genre d'homme a un tout petit sexe, tout au moins loin d'être en rapport avec leur corpulence. Ce que je découvre au fur en mesure que son bas ventre se dénude, met à mal mes certitudes. En me regardant et avec un léger sourire, il laisse choir son mawashi, Il s'est rasé les poils pubiens. Sa bite gigantesque pend entre ses jambes, la pointe affleure ses genoux, ses couilles sont grosses comme des œufs. Il les caresse, et passe sa main le long de l'immense cylindre, décalottant son gland, comme pour me le faire admirer. Mon acteur noir préféré Mandingo est battu. Il ...

... passe derrière moi, me saisit aux jambes et comme un fétu de paille me met les cuisses sur ses épaules.

Je me cale, en saisissant le poteau des deux mains. Ma vue surplombe sa bite monstrueuse qui pour l'instant pend toujours. Il approche sa bouche de mon bas ventre. Le bout de sa langue, se positionne sur le bas de ma fente, ses mains attrapent mes seins, et il me triture les tétons, je me mets à gémir et à me tortiller. Cela doit l'exciter car sa bite commence sa lente ascension. Je la vois grossir et s'élever, elle dépasse l'horizontale son gland arrive plus haut que son nombril. Cette métamorphose déclenche une coulée de foutre dans mon vagin, je le sens ruisseler le long ma fente ou la langue du géant a commencé sa douce remontée. Il lape puis aspire mon liquide intime.

— Mmmmmhhhhuuuummm... La femme blanche bon goût!!

D'une main il me dégage le clitoris, avec de petits coups de langue il le fait bien saillir, et durcir, je suis au comble de l'excitation, retiens ma respiration. Il l'aspire, puis me le mord doucement, je hurle de plaisir. Sa langue redescend, elle écarte mes petites lèvres et s'insinue dans ma vulve. Elle est au moins aussi grosse que le phallus d'Albert mon vieil amant. Elle s'enfonce dans mon vagin, il effectue des mouvements de va et vient qui me rendent folle. Je regarde sa queue, elle est tendue en arc de cercle, rigide, beaucoup plus grosse que mon poignet, du liquide pré-éjaculatoire suinte du gland. Je descends mes mains le long du poteau, ...