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Amis Pour La Vie
Datte: 15/12/2025, Catégories: Groupe de Sexe, Auteur: sexperver, Source: Literotica
... temps le plaisir explose dans mon ventre. Pour ne pas crier, je le mords dans le cou. Il nous faut une bonne minute pour nous remettre de nos émotions. Lentement je laisse mes jambes retomber et je m'écroule dans le fond de la douche aux pieds de François qui lui est affalé contre le mur de la douche et reprend son souffle. On s'essuie et nous retournons dans la chambre où nous attend toujours la collation que nous dévorons en quelques minutes. Je termine mon assiette la première et, poussée par une idée étrange, je me mets à genoux aux pieds de François et je prends sa queue en bouche. — Ma parole tu sembles aimer ça, constate François, je crois que je ne me. suis pas trompé sur ton compte, tu es une salope qui aime le cul sous toutes ses formes. Je préfère ne pas répondre, je continue à lécher et à sucer la grosse queue sans me préoccuper de ce qu'il pense de moi. Soudain, il me repousse et me prend par la main pour m'entraîner sur le lit. Il me jette sur le lit et se couche immédiatement sur moi. À peine le temps de dire ouf que ses doigts ouvrent mon sexe et que sa queue s'introduit à fond dans mon ventre. Il me baise sauvagement en se faisant aller comme un fou, nos ventres claquent l'un contre l'autre et ce qui doit arriver arrive, il ne tient pas longtemps avant de me jouir au fond de la moule. Naturellement je n'ai pas eu le temps de jouir même si j'y ai pris une sorte de plaisir malsain d'être prise comme une vulgaire putain. Je prends un ...
... mouchoir en papier sur la table de nuit et j'entreprends de m'essuyer, mais ce n'est pas facile de faire sortir tout le sperme qui traîne dans ma chatte, je devrais aller prendre une douche pour le faire partir. Il ne me laisse pas faire et m'oblige à me coucher contre lui, je crois qu'il a envie de parler et moi je déteste ça. — Je ne sais pas si tu as aimé ce que je t'ai fait, mais moi je prends un pied. d'enfer avec toi. — Pour être honnête, je dois bien reconnaître que, moralement, je n'aime. pas tes manières, mais que, physiquement, elles me plaisent. Si tu avais su attendre encore deux secondes, je crois bien que j'aurais joui avec toi. — Je vais te faire jouir, ne te tracasse pas. — Je ne me tracasse pas du tout, je me demande simplement ce que tu vas. encore inventer et je suis impatiente de savoir. — Ton mari a des cravates? — Heu! Je n'en sais rien, il faut voir dans la garde-robe ou dans une des. valises. Il se lève et va vers la garde-robe et en revient avec quatre cravates absolument horribles. François vient s'asseoir sur le bord du lit et m'attrape un poignet. Il attache une des cravates et se tourne vers mon pied qui subit le même sort que mon poignet. Il fait le tour du lit et c'est au tour de l'autre poignet et de l'autre cheville. Je commence à m'inquiéter sérieusement. — Tu ne vas quand même pas m'attacher au lit? — Si, me répond-il en souriant, mais rassure-toi tu ne seras pas vraiment. attachée. François retire ...