1. Amis Pour La Vie


    Datte: 15/12/2025, Catégories: Groupe de Sexe, Auteur: sexperver, Source: Literotica

    ... serais nue maintenant.
    
    — Peut-être que tu serais à poil, mais je n'aurais pas pris mon pied alors que.
    
    maintenant, je vais prendre un pied d'enfer à te mater.
    
    J'ouvre la bouche pour lui répondre, mais je n'en ai pas le temps, une paire de gifles m'envoie valdinguer au milieu de la chambre. Je n'ai pas le temps de me reprendre que François est déjà près de moi, il me prend par l'échancrure de mon corsage et déchire ma robe.
    
    Comme s'il était pris d'une rage folle, il continue son œuvre de destruction et bientôt je suis nue avec les lambeaux de mes vêtements éparpillés sur le sol de la chambre. Je suis verte de rage et mes yeux lancent des éclairs en direction de l'homme qui se penche sur moi.
    
    — Je te rappelle que je suis la femme de Pierre et que j'ai accepté de coucher.
    
    avec toi et tes amis, mais pas d'être traitée comme la dernière des putains. Maintenant tu vas sortir, retrouver tes potes et inventer une histoire plausible pour justifier ta présence.
    
    — Ha! Ha! Ha! Tu es vraiment la reine des connes si tu crois que je vais.
    
    sortir de cette chambre sans t'avoir sauté. Je suis ici pour passer une nuit avec toi et j'ai bien l'intention de profiter de tes trous à bites que cela te plaise ou non.
    
    Avant d'avoir le temps d'ouvrir la bouche, François se baisse et m'attrape par le bout d'un sein. Il sert brusquement le petit bouton de chair tendre et tire dessus pour m'obliger à me lever.
    
    — Aïe, tu me fais mal.
    
    — Tu vas avoir encore plus mal si tu ...
    ... l'ouvres encore pour faire autre chose.
    
    que pour prendre ma bite en bouche.
    
    — Jamais! dis-je avec rage.
    
    De l'autre main, il me saisit les cheveux et me force à me mettre à genoux. Me tenant toujours par les cheveux, il ouvre sa braguette et sort son sexe qu'il me pousse dans la bouche. Je pourrais le mordre, mais je sais qu'il me le ferait payer très cher, je ne crois pas que cela en vaille la peine. De plus je me vois mal sortir toute à poil dans les couloirs de l'hôtel.... et puis je dois avouer que je ressens une chaleur inédite au creux de mon ventre d'être traitée de cette manière. Je n'aurais jamais imaginé ressentir une sorte de plaisir d'être brutalisée.
    
    François se fait aller dans ma bouche en me tenant toujours les cheveux, il se sert de ma bouche comme si c'était une chatte. Brusquement il se retire et me donne deux gifles violentes.
    
    — Si tu en veux d'autres, me dit-il d'une voix arrogante, continues, à me.
    
    résister et tu seras servie, crois-moi.
    
    Je le crois bien volontiers et je préfère lui obéir que de tenter le diable.
    
    — Ça va, j'ai compris, je ferais ce que tu veux, mais ne me frappe plus.
    
    — Si j'ai encore une fois à me plaindre de toi, je te donnerai une fessée avec.
    
    ma ceinture pour que tu comprennes que c'est moi le chef et que tu dois faire ce que je veux.
    
    Il va s'asseoir à la table et commence à grignoter. Il écarte les cuisses et me montre son sexe en érection.
    
    — Suce, mais ne me fais pas jouir, me dit-il la bouche ...
«12...567...15»