Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 20 - Histoires de Sexe

Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 20

... »

Silence.

Etudiant son prisonnier, Catherine s'aperçut qu'un renflement suspect déformait son pantalon à hauteur de son bassin.

« Vous êtes un Doué mais vous n'avez pas pris la peine de vous soulager avant de m'importuner ... Ou devais-je vous servir d'exutoire? »

Elle défit le pantalon du bonhomme et abaissa son caleçon jusqu'à ses cuisses soigneusement garrottées par son garde du corps. Le sexe de l'homme se dressa immédiatement au-dessus des bourses gonflées. Il était loin d'avoir les dimensions de Gauthier mais était quand même d'une taille supérieure à celle des membres des 'normaux'

« C'est bien ce que je pensais. C'est aussi la preuve que le Don n'implique pas automatiquement une intelligence supérieure » dit-elle en effleurant la verge bandée du bout de ses doigts gantés. Le membre tressauta et l'homme grinça visiblement des dents.

« Je crois que je vais bien m'amuser » lui dit-elle avec un sourire mauvais.

Avisant un escabeau d'étrillage, elle le déposa face à l'homme et s'assit dessus. Elle défit ensuite les boutons de sa robe avant d'abaisser son corsage pour dévoiler son opulente poitrine envahie par les mamelons géants de l'allaitement.

L'homme se mit à transpirer et sa verge tressauta une nouvelle fois.

Catherine se mit à se caresser la poitrine, tirant sur ses tétons qui se mirent à perler quelques gouttes de lait maternel.

Le prisonnier gémit tandis que ses bourses enflaient à vue d'oeil.

« Hum, ce doit être inconfortable » ...

... commenta t'elle en soulevant le bas de sa robe, dévoilant ses mollets, puis ses genoux, ses cuisses et finalement sa culotte de dentelle.

« Awwêtez. Make me come ! »

« Vous voulez jouir? Répondez à mes questions ! Hum ... c'est très bon » ajouta t'elle en enlevant son gant et en passant sa main sous sa lingerie pour caresser son clitoris enfiévré par la situation.

Le pénis du petit homme avait pris une teinte violacée qui concurrençait la couleur des bourses déformées par les testicules saillantes sous l'enveloppe de chair.

« Aaah ... Mon mari a raison ... ooh c'est bon ... j'aime Dominer ... aaah être cruelle ... vous devez souffrir le maaaahhhtyre ... Reagaaardez ... Je vais ... aaah ... je vais ... OUIIII ! AAAAHHH ! »

De ses yeux mi-clos, elle vit un long jet de sperme s'échapper du gland de son prisonnier. Pour avoir pratiqué régulièrement son Gauthier, elle savait que ce genre d'éjaculation dans le vide ne soulageait aucunement un Doué. Au contraire, elle ne faisait que décupler la frustration qu'ils ressentaient à ne pas pouvoir posséder leur partenaire.

Elle récupéra rapidement de son orgasme et s'approcha du petit homme. Elle passa un ongle le long du membre vibrant comme une corde de guitare. Malgré ses liens, il parvint à se cabrer, essayant inutilement de transformer l'irritation en caresse mais en vain ; il ne parvint qu'à encore augmenter le volume de ses testicules.

« Bon sang, vos couilles sont presqu'aussi grosses que celles de mon mari !?; ...