Histoires de la Bienheureuse Agnès 04
Datte: 26/09/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byDominiknic, Source: Literotica
... tout ce qui se passait pour elle ce soir... Plus la soirée avançait et plus elle se disait qu'elle ne se trouvait pas là par hasard... Il y avait dans ce qui se passait ici ce soir, quelque chose de pas clair et qu'elle ne parvenait pas à comprendre ni à s'expliquer. Et puis ces remarques sibyllines et chargées d'un sens qui ne se disait pas! Qu'est-ce qui pouvait bien se tramer?... Mais déjà, la langue du Jacquot, la ramenait à des choses plus terre à terre ou du moins l'empêchait de se centrer sur ses souvenirs, court-circuitait sa raison et sa réflexion et la ramenait sur son corps et ses émotions. Elle sentait qu'elle allait encore jouir et elle tenta de contrôler son orgasme pour ne pas laisser partir le flot de cyprine et se tordre comme un ver comme à son habitude. Elle essayait au contraire de distiller sa liqueur par petites décharges de façon à les rendre presqu'imperceptibles à son lécheur...
Hubert était venu se mettre à genoux sur la table, au-dessus de la tête d'Agnès. Sa bite et surtout ses couilles à toucher la bouche de la belle bourgeoise. Il avait abandonné la blonde Hélène qui, saoule, avait fini par glisser entre deux tonneaux et y cuvait son vin, les fesses sur la terre battue, une épaule appuyée sur une barrique et les cheveux épars sur ses seins menus, ce qui lui donnait un air de petite sirène non terminée... Agnès se mit à sucer presque machinalement le membre pourtant bien bandé du jeune garçon. Non qu'elle n'en eût pas envie : il lui était ...
... agréable de le sucer et aussi de lui lécher et de lui manger les couilles, mais c'était le membre du Françou qui lui prenait l'esprit et il lui était difficile de faire la part belle au sexe du jeune homme, un peu quelconque il faut bien l'avouer...
Johann, lui, qui décidément avait une belle santé, continuait de baiser Brigitte bien à fond, sans précipitation et avec application. Manifestement il lui faisait du bien, car elle accompagnait le plus possible les coups de reins du garçon et de ses jambes passées en tenaille sur les hanches de son fouteur, l'appliquant encore davantage sur elle. Adrien, que Brigitte avait un temps sucé pendant qu'elle se faisait baiser, était parti de la table ; et depuis, Johann et Brigitte se roulaient des patins profonds et passionnés.
Adrien, était venu rejoindre la Bernadette, sous le banc où se trouvait Agnès. Il s'occupait de la grande femme qui elle-même branlait et suçait le membre du Jacquot. En réalité, le garçon brun branlait par-dessous la Bernadette, qui pour l'heure, s'était mis à genoux parallèlement au banc et proposait ainsi sa croupe large au jeune homme. Adrien, presque couché sous elle, lui embrassait les seins tandis que d'une main il lui branlait la fente. La paysanne gémissait de façon étouffée ayant dans la bouche le vit du Jacquot... Adrien devait lui faire beaucoup de bien, car Agnès l'entendait râler et marmonner à ses pieds, des interjections incompréhensibles qui allaient des : '' Haourgth!'', aux : ''Rattuouf...'', ...