1. Histoires de la Bienheureuse Agnès 04


    Datte: 26/09/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDominiknic, Source: Literotica

    ... elle se fait prendre en levrette par Johann, le joli blond. Il la baise bien à fond, la poussant à chaque fois sur la table. Elle gémit de plaisir, tout en se branlant le clito par-dessous. Adrien est venu s'accroupir sous la jambe levée d'Agnès, sa tête à remplacée la main de Johann sous sa cuisse. Il lèche doucement le clito et ce qui reste accessible de la vulve d'Agnès, alors que le Jacquot la baise en lui remplissant bien son trou de femme. Sous la caresse de la langue du garçon brun, Agnès trésaille et commence à gémir doucement. Le Jacquot qui lui fait face est légèrement plus petit qu'elle parce qu'il a fléchi les jambes pour la pénétrer. Il lui a pris les seins en bouche et les tète goulûment avec des remugles de vin et des rôts, sonores et odorants. Qu'importe, la belle bourgeoise oublie un instant la vulgarité de la situation et gémit de plus en plus fort. Au point que le Jacquot, relevant la tête s'adresse à elle :
    
    - '' Tu trouves ça bon, hein!!... C'est pas souvent que t'es baisée comme ça dans cette position!... Tu vois ma garce, que nous aussi les gars de la campagne, on peut aussi te faire du bien!... Hein, ma cochonne...!
    
    La Bernadette toujours à l'affût de tout ce que pouvait faire Agnès, en remet un peu :
    
    - '' T'inquiètes pas le Jacquot, elle aime tout! Pourvu que ça rentre...! C'est pas la peine qu'elle fasse comme ça la fine bouche, on sait ce qu'on sait!... ''
    
    - '' Oui, continua la Brigitte entre deux gémissements, sa vraie nature ne peut ...
    ... pas tromper son monde tout le temps! Profite-en bien le Jacquot, un petit morceau qui a tellement été essayé qu'il n'y a pas de raison que tu en sois privé! Hein?! ''
    
    Agnès restait sourde à ces sarcasmes, du moins, ceux-ci ne l'atteignaient plus. La langue d'Adrien sur son clitoris et sur les petites lèvres de sa vulve dilatée, la faisait chavirer... Oui, oui, trois fois oui, elle voulait maintenant plus que tout, une caresse à sa rosette : avoir un doigt dans son cul... Doucement de sa main gauche, elle vint chercher la main d'Adrien posé sur cuisse et l'amena entre ses fesses. Le garçon compris tout de suite ce qu'elle souhaitait et se mit à lui caresser doucement la raie des fesses, le périnée et jusqu'à venir toucher la bite qui pistonnait le con d'Agnès. Puis il s'attarda sur la rosette, mouilla son majeur aux bords du trou baisé de la belle infirmière et lui enfonça doucement dans le cul. Agnès crût défaillir et dû se rattraper aux épaules de son fouteur. Maintenant, elle était partie et elle savait qu'elle ne pourrait arrêter la folle jouissance qui montait en elle... Elle se mit à balancer la tête dans tout les sens et à divaguer avec les mots :
    
    - '' Ahhhhh... Oui!... Ouiiiii...! Vas-y!... Vas-y... Baise-moi bien!... Baise-moi, salaud... Ahhh, c'est bon!... Ouiiii ...!! '' Et quand Adrien lui enfila un deuxième doigt dans la rondelle, elle éclata dans une jouissance folle, déchargeant des flots de cyprine chaude à la fois sur le bas ventre de son baiseur, mais ...
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