Histoires de la Bienheureuse Agnès 04
Datte: 26/09/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byDominiknic, Source: Literotica
... dans le cul!! Ouiiii, vas-y enfile-moi le cul pendant que je décharge... Repasse-moi la bite dans la fente pendant que ça coule....! Ouuuiiii!... " Elle était folle de jouissance...
Elise, le visage inondé de cyprine chaude, remettait la bite dégoulinante du Jacquot entre les lèvres de la vulve de la bourgeoise. De ses trois doigts enfilés dans la rosette d'Agnès, Elise lui branlait en même temps le cul. La jeune brune n'en revenait pas d'un tel déluge, subjuguée qu'elle était par la personnalité qu'Agnès donnait à voir.
- " Ah, putain!, dit-elle, ça c'est une salope et une vraie baiseuse... Je n'ai encore jamais vu cela! "
Brigitte avait suivi de très près la jouissance d'Agnès et avait pratiquement joui à l'unisson de l'infirmière, inondant aussi, quoiqu'à un degré moindre, le vit énorme du Françou, qui n'avait pas encore lui non plus rendu les armes sur ce coup là.
Et puis surtout, cette effervescence eut pour conséquence la jouissance de la Bernadette. Devant une scène aussi excitante que celle qui vient d'être décrite, Bernadette qui se branlait accroupie au-dessus d'Agnès n'avait pu retenir elle aussi sa jouissance. Les trois doigts d'Armand qui lui ramonaient le fion, l'astiquage de sa motte et son clitoris par sa main droite et les trois doigts de sa main qu'elle était introduite dans le con, en même temps que l'explosion d'Agnès avaient déterminé le point ultime de l'amorçage de son largage. Avec des propos de charretiers, voire blasphématoires, elle ...
... avait tout lâché :
- " Ah, salopes, vous allez me faire décharger aussi... J'aime décharger comme les putains! Aaaaahhhhh, ouuuiiiii, je lâche mon foutre, moi aussi! Le Bon Dieu n'a pas voulu me faire pute, alors je me branle toute seule... Ah, salauds!!... Moi aussi, je voudrais des bites dans le con ..., dans le cul...... Partout!... Ahhhhh!!! Ca y est, je décharge...! Je me vide..."
Elle déchargeait sur le visage d'Agnès, liquide muqueux assez épais qui s'épanchait de sa connasse large et ouverte, roulait sur les lèvres longues et découpées bordant le trou et coulait en nappes visqueuses, chaudes et blanchâtres jusque sur le front, le nez, les joues, la bouche et le cou d'Agnès. Ce n'était pas une cyprine liquide et presqu'incolore comme celle d'Agnès, de Brigitte ou de la plupart des femmes, non. Il s'agissait d'un exsudat épais, onctueux et presque visqueux qui s'écoulait du con lentement mais abondamment. Agnès, pourtant habituée à la cyprine de partenaires, et elle en avait eu pas mal, n'avait jamais connu ce genre de sécrétion. Elle avait d'abord passé sa langue sur ses lèvres qui en étaient pleines, juste pour savoir de quoi il retournait. Le goût en était fort, presque amer, âpre aussi, mais avec un subtil arrière goût d'amande qui le rendait en définitive plutôt agréable. La cyprine de la Bernadette avait aussi une forte odeur d'amande amère, sans doute une hormone particulière qui devait fortement contribuer à déclencher les orgasmes des hommes et des femmes qui ...