Histoires de la Bienheureuse Agnès 04
Datte: 26/09/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byDominiknic, Source: Literotica
... Bernadette haussa les épaules sans répondre. Et voilà, pensa Agnès, elle était bien dans le complot avec les deux autres et le Françou aussi... Déjà Armand en demandait aussi :
- '' Moi aussi, patronne, vous me l'aviez dit... Que si on vous aidait pour la soirée, à la faire boire et...''.
- '' Tais-toi donc, imbécile! Tais-toi! Bien sûr que tu en auras aussi!... Ne sois pas impatient!...'', coupa la Brigitte.
- '' Oui, il y en aura pour tout le monde, ne vous tracassez pas!... Et vous aussi les jeunots, y en aura pour vous aussi!...'', appuya Bernadette.
- '' Aller, aller!!... Assez discuté! On y va!!...'', dit le Jacquot, dont le membre avait repris de la vigueur grâce aux attouchements et à la langue de la Bernadette.
- '' On y va, j'ai dit! Armand, Françou, amenez-la au bout de la table, les fesses bien au bord que je la visite un peu.! ''. Il était de plus en plus saoul et Agnès avait horreur de se faire prendre par un homme ivre. Elle n'entendait plus se laisser faire et elle commença à repousser de ses bras de ses jambes, les deux hommes qui s'emparaient d'elle. Elle cambrait son corps, envoyait ses pieds à travers l'espace et s'arcboutait. Les deux hommes avaient beaucoup de mal à la maîtriser. Voyant cela, Bernadette avait enjambé le banc et empoignait la petite infirmière. Elle lui saisit les poignets qu'elle emprisonna, dans ses mains aussi dures que le fer. Et pour mettre Agnès à la raison, elle monta complètement sur la table, bloqua de ses deux ...
... jambes les épaules d'Agnès, les genoux à hauteur des seins de la petite bourgeoise et le bas ventre juste au-dessus du visage de celle-ci.
D'un seul coup, Agnès fut vaincue et cessa de se débattre. Les deux hommes s'emparèrent chacun d'une jambe et lui écartèrent les fesses juste à la lisière du bout de la table. Elle était maintenant paralysée par la force titanesque de la Bernadette, certes, mais aussi parce que celle-ci lui donnait à voir, accroupie qu'elle était juste au-dessus de ses yeux, les cuisses largement écartées.
La grande paysanne était très poilue. Les poils lui descendaient jusque sur l'intérieur des cuisses. Mais c'était surtout la vulve qui était remarquable. Une moule gigantesque, à l'image de la femme qui en était dotée. La fente était énorme dans toutes ses dimensions, en longueur comme en largeur et en épaisseur... Agnès en avait vu pas mal des chattes, et même des grosses et des longues, mais des comme celle-là, jamais! Les grandes lèvres étaient très renflées et volumineuses, occupant tout l'entrejambe et même au-delà, touchant nettement les cuisses. Entre elles, les petites lèvres se présentaient en lames brunes, très longues et épaisses, aux bords très découpés et dentelés. Ces lèvres sexuelles étaient à peu près aussi larges et grosses que la menotte toute menue d'Agnès. Entre elles, un trou immense et bien ouvert du fait de l'écartement des cuisses de la géante. Un trou à y mettre le poing, tant il était béant. Il ne devait jamais pouvoir se ...