Histoires de la Bienheureuse Agnès 04
Datte: 26/09/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byDominiknic, Source: Literotica
... qu'elle l'humilie, même si cela la blessait évidemment, elle pouvait le comprendre, mais se mettre sur elle pour se faire sucer devant tout le monde, vraiment elle ne comprenait pas... Certes, dans des soirées ou des parties avec ses nombreux amants, Agnès avait déjà été amenée à sucer des femmes, à faire l'amour avec également... Mais c'était toujours dans des situations précises et librement consenties. En plus les femmes ne lui déplaisaient pas et faire l'amour avec certaines, la plupart de celles rencontrées d'ailleurs, avait été pour elle un plaisir tendre, doux dont elle gardait un bon souvenir (voir le récit : '' Des expériences très libérées '') ... Et même là, dans la situation de ce soir, elle devait reconnaître que la craquette de la Brigitte était plutôt appétissante, et que même si la vulve de la rousse était très mouillée par la baise et les léchages de la soirée, elle avait une belle forme et elle était bien dessinée...
La Brigitte d'un léger mouvement de son bassin d'avant en arrière, se frottait doucement, sans trop appuyer, sur le visage d'Agnès. De sorte que l'arrête du nez, la bouche et le menton de l'infirmière semblaient être devenus le rail de la coulisse des fesses, de la fente et du pubis de la jeune patronne... Après une courte hésitation, Agnès accepta de faire ce que les mouvements de la rousse lui imposaient : elle avait ouvert la bouche et de sa langue fouillait la caverne juteuse de la jeune femme. Son nez lui frottait doucement la rosette et ...
... le menton branlait le clitoris, où il venait y buter à chaque retour en avant du bassin de la Brigitte... Celle-ci s'abandonna aux caresses et en oublia un temps ses sarcasmes et ses sous-entendus, pour se laisser aller plus sincèrement :
- '' Oh, oui... C'est bon ma cochonne! Vas-y, vas-y!... Tu lèches bien toi, tu sais!... Ta langue est douce, fourre-moi là bien dans le trou du con et aspire...''. Agnès sans s'en rendre compte obéissait, tant elle y prenait du plaisir, elle aussi. Elle aspira les petites lèvres de Brigitte et pompa son trou à bites, pour en aspirer le nectar. Brigitte en avait un plaisir immense :
- '' Oui là, comme ça, c'est bon, c'est... Vas-y suce ma belle, suce-moi bien à fond... T'es une salope, mais j'aime ça...! Oh oui, j'aime ça... Passe bien ton bout de nez sur mon cul... Oui, comme ça tourne-le bien, là... Oh lala que c'est bon!... ''.
Un nouveau tableau s'installa : Agnès couchée en travers de la table, les pieds sur le banc, écartait les cuisses et le jeune Johann la baisait très doucement, comme s'il n'osait pas. Elise, un genou sur le banc léchait le clito d'Agnès et de temps à autre, enfournait la bite de Johann lorsqu'il désenconnait l'infirmière. La petite Elise était elle-même prise en levrette par Armand. Le Françou qui s'était remis à bien bander, était venu se mettre près de la patronne, debout sur la table. La Brigitte, en position arrière sur ces mains, les fesses ouvertes au-dessus d'Agnès, se faisait sucer qu'en même temps ...